Outre son grand privilège d’être la Mère de Dieu, Marie est aussi le premier disciple de son Fils. Elle est souvent appelé le modèle de l’Église. En suivant son exemple, nous marchons avec elle à travers les Évangiles que nous réfléchissons sur sa réponse à Dieu dans sa vie.
30 novembre 2014 – Marc 13: 33-37
Quel est le sens de la vie? Pourquoi sommes-nous ici? Qu’advient-il lorsque nous mourons? Pour nous, les catholiques, les réponses se trouvent en Jésus. Mais dans la précipitation de la vie, nous pouvons l’oublier. Avent ouvre nos yeux sur Jésus, et au fait qu’il y a trois avènements ou venues de Jésus. Nous réfléchissons sur eux en la compagnie de notre Sainte Mère.
Tout d’abord, l’Avent rappelle la venue passée de Jésus, sa naissance à Bethléem. Marie a porté Jésus en son seine pendant neuf mois, puis l’a tenu dans ses bras. Marie nous aide à découvrir le vrai sens de Noël comme l’anniversaire de Jésus.
Deuxièmement, l’Avent montre comment Jésus vient dans nos vies aujourd’hui. À la messe, il nous parle à travers l’Écriture, et il nous donne sa présence réelle dans la Sainte Communion. Marie, Mère de l’Eucharistie, se joint à nous au plus près à son Fils, à chaque Messe.
Troisièmement, l’Avent nous encourage à regarder vers la venue à venir de Jésus au moment de notre mort. Dans l’Évangile d’aujourd’hui, Jésus nous dit toujours d’être vigilant parce que nous ne connaissons pas le moment de sa venue. Si nous construisons nos vies sur sa première et seconde venue, et la confiance dans l’intercession aimante de Marie, nous serons prêts pour la troisième venue.
Marie attend avec impatience la venue de Jésus au premier Noël. Elle l’a accueilli chaque fois qu’il est entré par la porte de leur maison de Nazareth. Elle attendait sa venue à la fin de ses jours sur la terre pleine d’espérance et de joie. Marie peut nous aider à célébrer Noël avec unenthousiasme empressé. Elle va nous montrer comment l’accueillir à chaque fois qu’il entre dans la porte de notre cœur dans la Sainte Communion. Elle nous aidera à attendre son retour à la fin de nos jours remplis d’espérance confiante, et si nous disons: «Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre mort. »
Traduit du Père Oscar Lukefahr, CM