Cinquième jour de la neuvaine – Sainte Marie, astre brillant
Nous vous saluons, astre brillant, qui avez éclairé le monde enveloppé dans les ténèbres du paganisme.
De l’évangile (apocryphe) de la nativité de Sainte Marie :
Se conformant donc au commandement de l’ange, l’un et l’autre, partant du lieu où ils étaient, montèrent à Jérusalem, et, lorsqu’ils furent arrivés au lieu désigné par la prédiction de l’ange, ils s’y trouvèrent l’un au devant de l’autre. Alors, joyeux de se revoir mutuellement et rassurés par la certitude de la race promise, ils rendirent grâce comme ils le devaient au Seigneur qui élève les humbles.
C’est pourquoi, ayant adoré le Seigneur, ils retournèrent à leur maison, où ils attendaient avec assurance et avec joie la promesse divine. Anne conçut donc, et elle mit au monde une fille, et suivant le commandement de l’ange, ses parents l’appelèrent du nom de Marie.
Évangile (apocryphe) de la nativité de Sainte Marie, ch V
Très Sainte Vierge Marie, élue et destinée dès l’éternité à être la Mère du Fils unique du Père ; ô Vous qui avez été prédite par les Patriarches et désirée par toutes les Nations ; Sanctuaire et Temple vivant de l’Esprit Saint ; soleil sans tache à cause de Votre Conception Immaculée ; Souveraine du ciel et de la Terre, Reine des anges : humblement prosternés à Vos pieds, nous Vous rendons l’hommage de notre vénération, et nous nous réjouissons de l’anniversaire solennel de Votre bienheureuse naissance.