Tous les articles par P. Jean-Daniel Planchot

Saint Antoine de Padoue

Saint Antoine de Padoue

Saint Antoine de Padoue vitrail
Saint Antoine de Padoue vitrail

Antoine de Padoue (1195-1231), déclaré docteur de l’Église en 1946,  fut un très grand prédicateur. Il est généralement représenté tenant un livre sur lequel repose l’Enfant Jésus.

Celui que le monde entier vénère sous le nom de saint Antoine de Padoue naquit à Lisbonne et reçut au baptême le nom de Fernand (1195). Il entra très jeune chez les Ermites de Saint-Augustin, où il fut ordonné prêtre.

Le martyre des Frères mineurs que saint François avait envoyés au Maroc, le bouleversa et il demanda à être reçu lui-même dans la famille franciscaine. Il y devint frère Antoine. En 1221, on le trouve près de saint François au Chapitre général d’Assise. C’est peu après qu’il révéla des dons exceptionnels de prédicateur et de controversiste. Il écrivit des sermons pénétrés de doctrine et de douceur.

Il pensait aller chez les peuples d’Afrique pour propager la foi, mais ses supérieurs l’envoyèrent alors dans les régions d’Italie du nord et en France où se répandaient les doctrines cathares. Du couvent qu’il fonda à Brive-la-Gaillarde, Antoine rayonna sur tout le Limousin, où il suscita un vaste mouvement de conversion.

De retour en Italie en 1227, il commença à secouer rudement les usuriers et les mauvais riches : loin d’aider à retrouver l’argent perdu, comme le voudrait la légende, il exhortait plutôt ses auditeurs à se défaire de celui qu’ils possédaient pour secourir les plus pauvres. 

C’est seulement en 1230 qu’il arriva à Padoue où il enseigna à ses frères la théologie sur l’ordre de saint François et il y mourut âgé de trente-six ans l’année suivante en 1231, après avoir prêché un carême qui remua profondément la ville. L’action posthume d’Antoine allait commencer. Moins d’un an après sa mort, il était canonisé par Grégoire IX (30 mai 1232) et déjà les miracles dus à son intercession se multipliaient.

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SERMON POUR L’ASSOMPTION DE MARIE – Saint Antoine de Padoue

PETIT MOIS DU SACRÉ-CŒUR – TREIZIÈME JOUR

PETIT MOIS DU SACRÉ-CŒUR – TREIZIÈME JOUR

Prions, afin d’obtenir beaucoup de dévotion pour la Sainte Vierge,

LES TENDRESSES DU CŒUR DE JÉSUS : Jésus et Saint Pierre qui l’a renié.

Via Crucis - XX siècle Archives de la Maison Généralice S.V.D.- Rome
Via Crucis – XX siècle
Archives de la Maison Généralice S.V.D.- Rome

 

Pauvre Apôtre, quel remords dans son âme coupable et quelle frayeur à la pensée de revoir Jésus ! Peut-être honteux et tremblant, cherchait-il à voir, sans être aperçu, ce bon Maître qu’il a renié… Son Maître aussi le cherchait…

Qu’y eut il donc, ô Jésus, dans votre regard ? Oh ! ce n’était pas la colère, ce n’était pas « la plainte, ce n’était pas « le reproche. » colère, plainte, reproche auraient tué l’Apôtre… Il ne devait y avoir là que « l’amour !… Que vous êtes bon, ô Jésus ! Aussi, quelles que soient mes fautes, je ne vous fuirai jamais !

Je réciterai, aujourd’hui, un acte d’espérance du fond du cœur.

Adrien Sylvain

MOIS DU SACRÉ-CŒUR DE JÉSUS TREIZIÈME JOUR

PETIT MOIS DU SACRÉ-CŒUR – DOUZIÈME JOUR

PETIT MOIS DU SACRÉ-CŒUR – DOUZIÈME JOUR

Prions pour tous les membres de notre famille.

LES TENDRESSES DU CŒUR DE JÉSUS : Jésus et saint Jean reposant sur la poitrine du Sauveur.

Jésus et saint Jean reposant sur la poitrine du Sauveur
Jésus et saint Jean reposant sur la poitrine du Sauveur – Giotto

Quelle aimable familiarité ! Elle me parait à peine concevable, et cependant, mon Dieu, ce bonheur de S. Jean ne l’ai-je pas chaque fois que je fais la sainte Communion ? Si j’étais pure comme i était pur, si j’aimais Jésus comme il l’aimait, oh ! les doux moments que je passerais aux pieds de l’autel, gardant Jésus avec moi et dans moi !

Je comprends ce mot d’une enfant : Le ciel est une première communion continuelle. Ne suis-je pas au ciel après la communion ? L’Évangile ne dit pas que S. Jean parla beaucoup à Jésus, mais il dit que ce fut le seul apôtre qui se trouva sur le calvaire… Oh ! moi aussi, vous m’y trouverez, Jésus ! Rien, rien ne me séparera de vous.

Je ferai, aujourd’hui, un acte d’amende honorable à Jésus au Saint-Sacrement.

Adrien Sylvain

MOIS DU SACRÉ-CŒUR DE JÉSUS DOUZIÈME JOUR