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Saint Sernin ou Saturnin, martyr et évêque de Toulouse

Saint Saturnin, ou Sernin, martyr et évêque de Toulouse
(IIIe siècle)

Saint Saturnin aurait été envoyé par saint Pierre lui-même. Il fut du nombre des missionnaires qui vinrent dans les années 250, évangéliser les Gaules et fonda le siège épiscopal de Toulouse.

Saint Saturnin (ou Sernin)
Saint Saturnin (ou Sernin)

De nombreuses localités portent son nom dans diverses régions du sud de la France. La commune de Saint-Saturnin, Puy de Dôme, est dédiée à Saint Saturnin, martyr, premier évêque de Toulouse au IIIe siècle, dont les reliques ont été ramenées en Auvergne au VIe siècle. L’église de Saint-Saturnin est la plus petite des 5 basiliques majeures d’Auvergne.

« Après l’Ascension du Sauveur, au début de la prédication apostolique, Saturnin chargé de mission par saint Étienne, vint à Toulouse où il convertit beaucoup de monde. Puis, il alla dans les provinces voisines prêcher la parole de Dieu. Il partit pour Eauze.

En passant à Auch, il apprit, par révélation divine, le martyre de saint Pierre. En son honneur, il bâtit une église  sur les bords du Gers. Ensuite, il poursuivit son voyage, arriva à Eauze et franchit les Pyrénées semant partout les graines du salut.

Après tant d’efforts pour répandre partout la doctrine du Christ, il revint à Toulouse. Les démons qu’on y vénérait le redoutaient tellement qu’ils cessèrent de rendre leurs oracles, malgré les sacrifices d’animaux qu’on leur offrait. Émus par ce silence inattendu, les ministres de la superstition résolurent de le faire mourir. En présence d’une foule considérable, on décida d’offrir un taureau en sacrifice, en vue d’apaiser les dieux.

Saturnin vint à passer et quelqu’un, dans la foule, le reconnut: ‘C’est lui, s’écria-t-il, l’adversaire de notre culte ! Vengeons, et notre honneur et leur gloire: son immolation calmera leur courroux; sa mort les comblera de joie.’ À l’appel de cette voix, la foule en délire fit cercle autour du saint. Un prêtre et deux diacres parvinrent à s’échapper. Saturnin, seul, est traîné au Capitole.

On le pousse à sacrifier aux démons. Il témoigne: ‘Je ne connais qu’un Dieu unique et véritable, c’est à lui que j’immolerai les sacrifices de louanges. Vos dieux sont des démons’. À ces mots du saint évêque, ils passèrent, autour du taureau qui devait être immolé, une corde à laquelle ils attachèrent les pieds du saint.

Puis, ils excitent vivement le taureau qui dévala les degrés du Capitole vers la plaine. Aussitôt, tête brisée, crâne décervelé, corps tout entier déchiré, il rendit à Dieu son âme admirable. » (saints du diocèse de Pamiers)

 

Ouverture du Synode

Ouverture du Synode:
le Pape prône une Église hospitalière et miséricordieuse

Synode 2021 2024
Synode 2021 2024

L’Assemblée du Synode des Évêques se tient en deux sessions :« Dans le but d’avoir un temps de discernement plus important, j’ai établi que cette assemblée synodale se tiendra en deux sessions, la première du 4 au 29 octobre 2023, la deuxième en octobre 2024 » a déclaré le pape François lors de l’Angélus dominical 16 octobre place Saint-Pierre. Il reconnaît que les fruits de ce processus synodale sont nombreux mais pour « qu’ils arrivent à maturation, il ne faut pas être pressé ».

Le Pape François ouvre la première Congrégation générale du Synode sur la synodalité et  rappelle à tous les participants réunis dans la salle Paul VI que l’assemblée « n’est pas un parlement, ni une rencontre entre amis » : « Si parmi nous il y a d’autres manières d’avancer pour intérêts humains, personnels, idéologiques, ce ne serait pas un Synode ». Le Pape rappelle que « le protagoniste » est l’Esprit Saint : « Ne l’attristons pas avec des paroles vides de sens et des bavardages, une maladie courante dans l’Église ».

Le Synode est une convocation dans l’Esprit Saint, un lieu de grâce et de communion, a déclaré le Pape, qui a placé le Synode sur la synodalité sous le signe du regard de Jésus «qui bénit et qui accueille». Concélébrée notamment par les nouveaux cardinaux, l’Eucharistie a rassemblé place Saint-Pierre 25 000 fidèles, dont les 464 participants au Synode.Elle a été célébrée par le cardinal Giovanni Battista Re, doyen du Collège cardinalice.

Le synode signifie marcher ensemble dans une Église «qui bénit et qui accueille». Il n’est pas un rassemblement politique, ni une réunion parlementaire, a rappelé le Pape dans son homélie, lors de la messe d’ouverture du Synode sur l’avenir de l’Église, mercredi 4 octobre.

Partir du regard de Jésus, «qui bénit et qui accueille»

En ce début du synode, l’Église n’a pas besoin d’un regard immanent, «fait de stratégies humaines, de calculs politiques ou de batailles idéologiques». Les participants n’y sont pas réunis pour une réunion parlementaire ou pour élaborer un plan de réforme; mais plutôt pour «marcher ensemble sous le regard de Jésus, qui bénit le Père et accueille tous ceux qui sont fatigués et opprimés». C’est ce regard du Christ que le Pape a invité à prendre comme point de départ.

Dans des moments de désolation pastorale, Jésus ne s’est pas laissé abattre par la tristesse. Il a levé les yeux vers le ciel, il a béni le Père. «Au moment de la désolation, Jésus a donc un regard capable de voir au-delà: il loue la sagesse du Père et il est capable de discerner le bien caché qui grandit, la semence de la Parole accueillie par les simples, la lumière du Royaume de Dieu qui se fraye un chemin même dans la nuit».

Ne pas se laisser emprisonner dans la déception

Malgré le rejet et l’adversité rencontrés dans sa mission, Jésus ne se laisse pas emprisonner dans la déception et l’amertume. Même dans la tempête, il reste serein, enraciné dans le primat du Père. À l’exemple du Seigneur, nous sommes invités à être une Église joyeuse, qui contemple l’action de Dieu, discerne le temps présent.

Une Église qui, «au milieu des vagues parfois agitées de notre temps, ne se décourage pas, ne cherche pas d’échappatoires idéologiques, ne se barricade pas derrière des convictions acquises, ne cède pas aux solutions faciles, ne se laisse pas dicter son agenda par le monde». Un écho de François au discours de saint Jean XXIII à l’ouverture du Concile Vatican II, une sagesse spirituelle que l’Église doit conserver, en tenant ensemble l’héritage sacré et les exigences du temps présent.

Première tâche du synode, recentrer le regard sur Dieu

Le Pape François a par ailleurs souligné la nécessité d’une Église unie, fraternelle, qui écoute et dialogue; qui bénit et encourage, qui accompagne ceux qui cherchent le Seigneur et secoue avec bienveillance les indifférents; qui initie les personnes à la beauté de la foi. Centrée sur Dieu, une telle Église ne peut se diviser de l’intérieur, ni être dure à l’extérieur.

En effet, le regard qui bénit de Jésus invite aussi à être une Église qui affronte les défis et les problèmes d’aujourd’hui en tournant les yeux vers Dieu qui est communion, plutôt que dans un esprit de division et de conflit. La question fondamentale à nous poser est celle de savoir comment pouvons-nous porter l’Évangile à l’homme d’aujourd’hui, pour qu’il devienne annonce du salut. La tâche première du synode est celle de «recentrer notre regard sur Dieu, pour être une Église qui regarde l’humanité avec miséricorde».

Devenir une «une Église hospitalière»

Parlant du regard du Christ qui accueille, François a souligné que tout au de sa vie, Jésus a adopté «ce regard hospitalier envers les plus faibles, les souffrants, les laissés-pour-compte». Ce regard accueillant, a indiqué le Pape, nous invite à être «une Église hospitalière», afin d’apporter une attitude intérieure cordiale et douce, que requiert une époque complexe comme la nôtre où de nouveaux défis culturels et pastoraux apparaissent.

Cela nous conduira à nous confronter sans crainte. Ainsi, dans le dialogue synodal, «dans cette belle « marche dans l’Esprit Saint » que nous entreprenons ensemble en tant que Peuple de Dieu, nous pouvons grandir dans l’unité et l’amitié avec le Seigneur pour regarder les défis d’aujourd’hui avec son regard; pour devenir, une Église qui « se fait conversation »», selon une expression de saint Paul VI.

Sur les traces de saint François d’Assise

Face aux défis qui nous attendent, ce regard qui bénit et accueille nous empêche de tomber dans certaines tentations dangereuses, celles d’«être une Église rigide, qui s’arme contre le monde et regarde en arrière;… une Église tiède, qui se soumet aux modes du monde;… une Église fatiguée, repliée sur elle-même», a déclaré le Pape.

François a invité à marcher ensemble, humbles, ardents et joyeux; sur les traces de saint François d’Assise, le saint de la pauvreté et de la paix, le “fou de Dieu”, dont la fête liturgique se célèbre ce 4 octobre. A ce saint italien fut confiée la mission de «réparer» l’Église.

Aujourd’hui encore, notre Mère l’Église a besoin d’être purifiée, d’être «réparée», «parce que tous nous sommes un Peuple de pécheurs pardonnés», appelé à revenir à la source qu’est Jésus et à se remettre sur les chemins de l’Esprit pour rejoindre tout le monde avec son Évangile.

C’est en effet avec les armes de l’Évangile que sont l’humilité et l’unité, la prière et la charité, que le «Poverello» a résisté, dans une époque marquée par de grandes luttes et de divisions entre les pouvoirs temporel et religieux, entre l’Église institutionnelle et les courants hérétiques, entre les chrétiens et les autres croyants.

L’Esprit Saint brise toute prédiction et toute négativité

En concluant son homélie, le Pape s’est voulu rassurant face aux attentes, aux espoirs et à quelques craintes que nourrissent le saint Peuple de Dieu et ses pasteurs à l’égard du Synode qui commence. Le Saint Père a rappelé qu’il ne s’agit pas «d’un rassemblement politique, mais d’une convocation dans l’Esprit; non pas d’un parlement polarisé, mais d’un lieu de grâce et de communion».

Le Pape  François a invité à s’ouvrir à l’Esprit Saint, le protagoniste qui «brise souvent nos attentes pour créer quelque chose de nouveau qui dépasse nos prédictions et notre négativité».

« POUR UNE ÉGLISE SYNODALE : COMMUNION, PARTICIPATION ET MISSION » (page 2)

Prier et servir dans la joie : Kateri Tekakwitha, première sainte autochtone nord-américaine

Prier et servir dans la joie :
Kateri Tekakwitha, première sainte autochtone nord-américaine

Durant sa catéchèse lors de l’audience générale du mercredi 30 août, le Pape François a parlé de la figure de Kateri Tekakwitha, la première femme autochtone nord-américaine à avoir été canonisée. En prenant exemple sur la dévotion totale de cette sainte pour la croix, le Saint-Père nous appelle à nous engager avec un cœur sans partage dans la vocation et la mission» confiée par Dieu.
PAPE FRANÇOIS

AUDIENCE GÉNÉRALE

Salle Paul VI
Mercredi 30 août 2023

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Résumé de la catéchèse

– La passion pour l’évangélisation : le zèle apostolique du croyant

– 19. Prier et servir dans la joie : Kateri Tekakwitha, première sainte autochtone nord-américaine

Chers frères et sœurs,

aujourd’hui nous poursuivons notre catéchèse sur le zèle et la passion apostolique grâce à la figure de sainte Kateri Tekawitha, première sainte autochtone d’Amérique du Nord au XVIIe siècle. Seule sa mère, d’une tribu différente de celle de son père, était baptisée et c’est elle qui apprit à Kateri à prier et à chanter Dieu.

Mais une épidémie de variole rendit la petite orpheline ; elle garda même toute sa vie des marques sur son visage et une vue très abîmée. Après le baptême, reçu a 20 ans, l’engagement de Kateri dans la mission des pères jésuites auprès des enfants et des personnes malades ou âgées, comme sa manière de servir humblement, de prier ou de supporter ses croix, faisait l’édification de tous et manifestait clairement un grand zèle apostolique.

Son désir de se donner totalement à Dieu l’amena à émettre un vœu de virginité à l’âge de 23 ans, une année avant sa mort précoce. La courte vie de Kateri Katewitha révèle la joie silencieuse et la liberté d’une vie ouverte au Seigneur et aux autres dans un quotidien tout donné.

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Catéchèse

Chers frères et sœurs, bonjour !

Maintenant, poursuivant notre catéchèse sur le thème du zèle apostolique et de la passion pour l’annonce de l’Évangile, regardons aujourd’hui sainte Kateri Tekakwitha, la première femme autochtone d’Amérique du Nord à être canonisée.

Née vers 1656 dans un village du nord de l’État de New York, elle était la fille d’un chef mohawk non baptisé et d’une mère chrétienne algonquienne, qui a appris à Kateri à prier et à chanter des hymnes à Dieu. Beaucoup d’entre nous ont également été présentés au Seigneur pour la première fois au sein de la famille, notamment par nos mères et nos grands-mères.

C’est ainsi que commence l’évangélisation et en effet, ne l’oublions pas, la foi est toujours transmise en dialecte par les mères et les grands-mères. La foi doit se transmettre en dialecte et nous la recevons dans ce dialecte des mères et des grands-mères.

L’évangélisation commence souvent ainsi : par des petits gestes simples, comme celui des parents qui aident leurs enfants à apprendre à parler à Dieu dans la prière et qui leur parlent de son grand et miséricordieux amour. Et les fondements de la foi de Kateri, et souvent aussi de nous, ont été posés de cette manière. Elle l’avait reçu de sa mère en dialecte, le dialecte de la foi.

Quand Kateri avait quatre ans, une grave épidémie de variole a frappé son peuple. Ses parents et son jeune frère sont morts, et Kateri elle-même s’est retrouvée avec des cicatrices au visage et des problèmes de vision.

À partir de ce moment, Kateri dut faire face à de nombreuses difficultés : certes physiques, dues aux effets de la variole, mais aussi aux incompréhensions, aux persécutions et même aux menaces de mort qu’elle subit après son baptême le dimanche de Pâques 1676. Tout cela, il donna à Kateri un grand amour pour la croix, signe définitif de l’amour du Christ, qui s’est donné jusqu’au bout pour nous.

En effet, le témoignage de l’Évangile ne concerne pas seulement ce qui est agréable ; il faut aussi savoir porter nos croix quotidiennes avec patience, confiance et espérance. Patience, face aux difficultés, aux croix : la patience est une grande vertu chrétienne. Celui qui n’a pas de patience n’est pas un bon chrétien.

La patience de tolérer : tolérer les difficultés et aussi tolérer les autres, qui parfois nous ennuient ou nous posent des difficultés… La vie de Kateri Tekakwitha nous montre que chaque défi peut être surmonté si nous ouvrons notre cœur à Jésus, qui nous accorde la grâce dont nous avons besoin : de la patience et un cœur ouvert à Jésus, voilà une recette pour bien vivre.

Après avoir été baptisée, Kateri doit se réfugier chez les Mohawks dans la mission jésuite près de la ville de Montréal. Là, elle assiste à la messe tous les matins, consacre du temps à l’adoration devant le Saint-Sacrement, récite le Rosaire et mène une vie de pénitence.

Ses pratiques spirituelles ont impressionné tout le monde à la Mission ; ils ont reconnu en Kateri une sainteté qui attirait parce qu’elle naît de son amour profond pour Dieu : c’est typique de la sainteté d’attirer. Dieu nous appelle par attraction, il nous appelle avec ce désir d’être proche de nous et elle a ressenti cette grâce d’attraction divine.

En même temps, elle a enseigné aux enfants de la Mission à prier et, à travers l’accomplissement constant de ses responsabilités, y compris le soin des malades et des personnes âgées, elle a donné l’exemple d’un service humble et aimant envers Dieu et le prochain. La foi s’exprime toujours dans le service. La foi n’est pas pour se constituer soi-même, l’âme : non ; c’est servir.

Même si elle a été encouragée à se marier, Kateri a plutôt voulu consacrer pleinement sa vie au Christ. Ne pouvant entrer dans la vie consacrée, elle fait vœu de virginité perpétuelle le 25 mars 1679. Ce choix révèle un autre aspect de son zèle apostolique : le dévouement total au Seigneur.

Bien sûr, tout le monde n’est pas appelé à faire le même vœu que Kateri ; cependant, chaque chrétien est appelé chaque jour à s’engager de tout son cœur dans la vocation et la mission que Dieu lui a confiées, en le servant ainsi que son prochain dans un esprit de charité.

Chers frères et sœurs, la vie de Kateri témoigne encore une fois que le zèle apostolique implique à la fois une union avec Jésus, nourrie par la prière et les sacrements, et le désir de diffuser la beauté du message chrétien à travers la fidélité à sa vocation particulière. Les derniers mots de Kateri sont magnifiques. Avant de mourir, elle a dit : « Jésus, je t’aime ».

Nous aussi, puisant la force du Seigneur, comme l’a fait sainte Kateri Tekakwitha, apprenons à accomplir des actions ordinaires de manière extraordinaire et à grandir ainsi chaque jour dans la foi, la charité et le témoignage zélé du Christ.

Ne l’oublions pas : chacun de nous est appelé à la sainteté, à la sainteté du quotidien, à la sainteté de la vie chrétienne commune. Chacun de nous a cette vocation : avançons sur ce chemin. Le Seigneur ne nous laissera pas tomber.
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Je salue cordialement les pèlerins de langue française présents à cette audience, notamment les sœurs de la Présentation de Marie qui tiennent leur chapitre général dans la lumière de la canonisation récente de leur fondatrice Marie Rivier.

Chers frères et sœurs, puissiez-vous vous laisser prendre par le zèle et la passion apostolique que l’Esprit saint insuffle à toute époque à ceux qui aiment Dieu et le mettent au-dessus de tout.

Que Dieu vous bénisse !
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APPEL

Après-demain, 1er septembre, est célébrée la Journée mondiale de prière pour le soin de la création, inaugurant le « Temps de la création » qui durera jusqu’au 4 octobre, fête de saint François d’Assise. A cette date, j’ai l’intention de publier une Exhortation, un deuxième Laudato si’.

Rejoignons nos frères et sœurs chrétiens dans notre engagement à prendre soin de la création en tant que don sacré du Créateur. Il est nécessaire de se tenir aux côtés des victimes de l’injustice environnementale et climatique, en s’efforçant de mettre fin à la guerre insensée contre notre Maison commune. J’exhorte tout le monde à travailler et à prier pour qu’il regorge à nouveau de vie.

J’adresse une pensée aux jeunes, aux malades, aux personnes âgées et aux jeunes mariés. Seul le Christ possède les paroles de la vie éternelle : je souhaite donc que vous le suiviez toujours avec un cœur ouvert et enthousiaste et que vous en rendiez témoignage chaque jour de votre vie.

Et s’il vous plaît, renouvelons notre proximité et nos prières pour l’Ukraine chère et tourmentée, si éprouvée par de grandes souffrances.

À vous tous, ma bénédiction.


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Texte traduit et présenté par l’Association de la Médaille Miraculeuse