DÉDICACE DES BASILIQUES SAINT PIERRE ET SAINT PAUL
Saint Pierre et saint Paul, El Greco, XVIe siècle, Musée de l’Ermitage, Russie
La tombe de saint Pierre au Vatican et celle de saint Paul au bord du Tibre sur la route d’Ostie, « les trophées des Apôtres », comme les appelle un document du 2e siècle, ont toujours été l’objet de la vénération des fidèles.
Après le tombeau glorieux du Christ à Jérusalem, les tombes apostoliques de Rome constituent le but par excellence du pèlerinage chrétien.
Vers 330, l’empereur Constantin érigea une vaste basilique sur la tombe de Pierre et un édifice assez modeste sur celle de Paul.
La basilique de saint Paul fut reconstruite dès la fin du siècle sur un plan plus grandiose (390). Elle devait être détruite par un incendie en 1823 et rebâtie sur le même plan (1854).
La basilique constantinienne de saint Pierre fut remplacée au 16e siècle par celle de Bramante et de Michel-Ange, qui dresse sa coupole dans le ciel de Rome juste au-dessus de la tombe de l’Apôtre. On en célébra la dédicace le 18 novembre 1626.
Pierre et Paul ont été « nos pères dans la foi ». En annonçant aux païens le salut en Jésus Christ, ils nous ont apporté « la première annonce de l’Évangile». Mais leur activité ne s’est pas arrêtée avec leur mort.
L’Église romaine est l’Église de Pierre et de Paul. Elle parle en leur nom et elle fait chaque jour l’expérience de leur sollicitude : ils la guident et la protègent, pour qu’elle garde intacte la vérité dont ils lui ont confié le dépôt.
D’après Pierre Jounel
C’est pourquoi, à l’Association de la Médaille Miraculeuse, pour marquer cette union, nous relayons à notre mesure ce que l’Église Romaine nous transmet, notamment par l’intermédiaire du Saint Père, surtout bien sûr quand cela touche la Sainte Mère de Dieu.
Mémoire de la dédicace des basiliques des saints Pierre et Paul, Apôtres, à Rome. La première, saint Pierre de Rome au Vatican, édifiée par l’empereur Constantin sur la colline vaticane, au-dessus de la tombe de saint Pierre, mais délabrée par le cours des temps et reconstruite sur un plan plus grandiose, fut de nouveau consacrée en ce jour ; sa gigantesque coupole développe sa courbe exactement au-dessus du premier pasteur de l’Église » (Pie XII); La seconde, Saint Paul hors-les Murs sur la voie d’Ostie au lieu même où fut enseveli l’Apôtre des Nations, construite sur la voie d’Ostie par les empereurs Théodose et Valentinien, puis détruite par un déplorable incendie et entièrement reconstruite, fut consacrée le 10 décembre 1854. La commémoraison commune de leur dédicace, est, d’une certaine manière, un signe de la fraternité des deux Apôtres et de l’unité de l’Église. (Martyrologe romain)
Le 12 avril 2011, la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements a émis le décret fixant au 22 octobre la mémoire liturgique du bienheureux Jean-Paul II, inscrite au calendrier diocésain de Rome et de la Pologne, jour anniversaire de l’inauguration de son pontificat. Il a été canonisé le 27 avril 2014 en même temps que Jean XXIII.
Karol Jozef Wojtyla naît à Wadowice, en Pologne, en 1920. Sa famille et son enfance sont marquées par divers deuils.
En 1939, quand l’Allemagne nazie envahit la Pologne, le troisième Reich ferme l’université Jagellon de Cracovie qu’il fréquentait; c’est ainsi que le jeune Karol commence à travailler, d’abord dans une carrière, puis dans l’industrie chimique Solvay pour pouvoir gagner de quoi vivre et éviter la déportation en Allemagne.
A partir de 1942, en se sentant appelé au sacerdoce, il suit les cours de formation au grand séminaire clandestin de Cracovie, dirigé par l’archevêque Adam Stefan Sapieha.
Pasteur dans une Pologne enfin libre
A la fin de la guerre, Karol peut continuer ses études au grand séminaire de Cracovie et à la Faculté de théologie de l’Université Jagellon, jusqu’à son ordination sacerdotale en 1946. En 1948 il reçoit sa première charge, en Pologne, comme coadjuteur dans la paroisse de Niegowic, près de Cracovie, puis dans celle de saint Florian, en ville.
Il est aumônier des étudiants universitaires jusqu’en 1951, et par la suite, il enseignera la théologie morale et l’éthique au grand séminaire de Cracovie et à la faculté de théologie de Lublin. Le 13 janvier 1964 il est nommé archevêque de Cracovie par Paul VI, qui le crée cardinal trois ans plus tard. Aussitôt après il participe au Concile Vatican II où il donne une importante contribution pour la rédaction de la constitution Gaudium et spes.
Premier polonais sur le siège de Pierre
Après la disparition prématurée de Jean-Paul I, Karol Wojtyla, contre tout pronostic, est élu pape le 16 octobre 1978. C’est le premier pape non italien après 455 ans, depuis Adrien VI, et le premier pape polonais de l’histoire et aussi le premier pontife en provenance d’un pays de langue slave.
Son pontificat commence aussitôt à enregistrer des records: ses voyages apostoliques dans le monde, expression de sa constante sollicitude pastorale de successeur de Pierre pour toutes les Églises, sont au nombre de 100; aidé par la connaissance de onze langues, Jean Paul II a toujours travaillé pour construire des ponts de relations entre nations et religions diverses, dans le signe de l’œcuménisme, la vraie boussole qui l’a guidé pendant son long pontificat. En Italie, enfin, les visites pastorales sont de 146 et, comme évêque de Rome, il a visité 317 paroisses romaines.
Un ministère vraiment universel
Sa sollicitude de pasteur trouve son expression, par ailleurs, dans l’érection de nombreux diocèses et circonscriptions ecclésiastiques, dans la promulgation des Codes de Droit Canonique latin et des Églises orientales, du catéchisme de l’Église catholique.
En proposant au peuple de Dieu des moments de particulière intensité spirituelle, il célèbre l’Année de la Rédemption, l’Année Mariale et l’Année de l’Eucharistie ainsi que le Grand Jubilé de l’an 2000.
Il se rapproche des jeunes générations en décidant la célébration de la Journée Mondiale de la Jeunesse qui a ses débuts dans la première rencontre à Rome le 31 mars 1985 et qui, depuis lors, sera célébrée tous les deux ans dans une ville différente du monde, choisie par le Pape, en prenant progressivement toujours plus d’importance.
Aucun autre pape avant lui, n’avait rencontré autant de personnes que Jean Paul II: aux Audiences Générales de mercredi, environ plus de 1160, avec la participation de plus de 17 millions six cents-mille pèlerins, sans compter toutes les autres audience spéciales et les cérémonies religieuses, et les millions de fidèles dont il a serré la main et donné une caresse au cours des visites pastorales en Italie et dans le monde.
L’attentat place Saint Pierre
Jean Paul II a aussi subi un grave attentat sur la place Saint Pierre le 13 mai 1981; c’était au moment où il venait à peine de commencer son parcours parmi la foule, lors de l’audience générale de mercredi, qu’il a été blessé par un projectile de pistolet tiré contre lui . Après un long séjour à l’hôpital, il pardonne à celui qui a attenté à sa vie, un turc du nom de Ali Agça, en lui rendant visite à la prison, où il a eu un long entretien avec lui.
En rendant grâce d’avoir été sauvé par la main maternelle de la Mère de Dieu , le Pape, ensuite, fera incruster dans la couronne de la statue de Notre Dame de Fatima, le projectile qui l’avait touché, en souvenir donc de l’attentat qui avait eu lieu justement le jour de la fête de la Vierge de Fatima. Convaincu d’avoir reçu une nouvelle vie, Jean Paul II intensifie alors ses engagements avec une générosité héroïque.
Documents et textes
Jean Paul II, au cours de son long pontificat, a aussi publié divers documents qui font partie aujourd’hui du Magistère de l’Eglise. Parmi les principaux documents on peut citer 14 Encycliques,15 Exhortations apostoliques, 11 Constitutions apostoliques et 45 Lettres apostoliques.
Parmi celles-ci on peut mentionner deux encycliques sur le thème du travail et de la doctrine sociale comme Laborem exercens en 1981 et Centesimus Annus en 1991, à l’occasion du centenaire de l’encyclique Rerum Novarum de Léon XIII. On peut aussi évoquer la Constitution apostolique Pastor bonus de 1998 où il procède à l’organisation de la Curie romaine et des tâches des divers dicastères.
On doit aussi attribuer 5 livres au pape Jean Paul II: Varcare la soglia della Speranza (Franchir le seuil de l’espérance – octobre 1994), Dono e mistero (Don et mystère) à l’occasion du 50° anniversaire de mon sacerdoce (novembre 1996); Trittico romano,meditazioni in forma di poesia (Triptyque romaine, méditations sous forme de poésie – mars 2003); Alzatevi, andiamo (Levez- vous et allons-y! – mai 2004), et Memoria e Identità ( Mémoire et Identité – février 2005).
La mort et le culte
Jean Paul II meurt à Rome, dans le Palais Apostolique du Vatican, samedi le 2 avril 2005, à 21h37, la veille du Dimanche in Albis ou de la Divine Miséricorde, qu’il avait instituée. Son pontificat a été le troisième le plus long de l’histoire, après celui de Pierre et celui de Pie IX.
Ses funérailles solennelles de sur la place saint Pierre ont été célébrées le 8 avril, avec une affluence incroyable de personnes. Béatifié en 2011 par son successeur immédiat Benoît XVI, il a été canonisé par le pape François le 27 avril 2014.
Voici une prière que Jean Paul II avait apprise pendant son enfance et qu’il récitait chaque jour
«Viens, 0 Esprit créateur,
Visite nos cœurs
Remplis de ta grâce les cœurs que tu as créés
O doux consolateur, don du Père Très haut, eau vive, feu, amour, saint crème de l’âme.
Doigt de la main de Dieu, promis par le Sauveur, donne tes sept dons, suscite en nous la parole.
Sois la lumière de l’intellect, flamme ardente dans le cœur, soigne les blessures avec le baume de ton amour.
Défends nous de l’ennemi, donne la paix, toi, guide invincible, préserve nous du mal.
Lumière d’éternelle sagesse, révèle nous le grand mystère de Dieu Père et du Fils unis dans un seul Amour.
Gloire soit à Dieu Père, au Fils, qui est ressuscité des morts et à l’Esprit Saint pour les siècles des siècles
Amen.
Le mot ange vient de la langue hébraïque et veut dire « messager ». Les anges se présentent à nous comme des ambassadeurs de Dieu.
Dieu noue des relations avec les hommes au moyen d’anges.
angelot église Notre-Dame de l’Assomption de Valloire
Certains croient aux anges tout en niant l’existence de Dieu. Surprenant ? Ces créatures mystérieuses seraient-elles donc plus attrayantes que leur créateur ? la Bible fait la part belle aux anges. Elle va même jusqu’à nous recommander de ne pas oublier l’hospitalité car des personnes ont ainsi autrefois accueilli des anges à leur insu.
Dès les premières pages de la Bible, nous voyons que les anges sont présents pour instruire, protéger, réconforter et conduire les hommes.
Après l’expulsion d’Adam et d’Eve du Paradis terrestre, un ange à l’épée flamboyante en interdit l’entrée. C’est un ange qui console Agar dans le désert. C’est un ange qui arrête le bras d’Abraham prêt à immoler Isaac. Avant que Sodome ne soit détruite par le feu du ciel, un ange fait sortir Loth et sa famille de la ville.
Le patriarche Jacob voit en songe des multitudes d’anges monter et descendre l’échelle qui va de la terre au ciel. Dieu envoie un ange pour conduire à travers le désert les Hébreux vers la Terre Promise. Plus tard, Élie est réconforté au cours de sa mission par un ange.
Présents partout dans la Bible:
On pourrait penser que les anges ne sont intervenus qu’avant la venue de Jésus-Christ, mais il n’en est rien. Nous les retrouvons en effet au cours de la vie du Christ.
L’ange Gabriel est le messager de la venue de Dieu parmi les hommes auprès de Zacharie et de Marie.
Un ange est préposé à instruire Joseph de ce miracle inouï et à l’assister dans sa tâche de père adoptif.
Un ange annonce la naissance du Messie aux bergers de Bethléem et ce sont des multitudes d’anges qui louent Dieu dans le ciel de Noël.
Des anges vont servir Jésus après son jeûne de 40 jours au désert et sa victoire sur la triple tentation. Et un ange va le réconforter lors de son agonie, dans la nuit du jardin des Oliviers.
Des anges seront envoyés pour annoncer la résurrection du Sauveur, à Marie-Madeleine et à plusieurs femmes.
Des anges, enfin, vont instruire les apôtres au moment de l’Ascension. Et par la suite, les apôtres eux-mêmes seront témoins de l’action des anges.
C’est un ange qui fait échapper les apôtres des mains de leurs accusateurs, un autre délivre Pierre de la prison d’Hérode, un autre encore conduit le centurion Corneille vers Pierre.
Grandeur et privilèges des anges :
La Bible leur attribue donc de multiples activités. Ils louent Dieu et se réjouissent de son action, ils observent l’ordre, le travail et la souffrance des chrétiens. Ils sont surtout au service de Dieu parfois en tant qu’instruments de ses jugements, mais également pour soutenir les croyants. Ainsi ils apportent des réponses aux prières. Ils encouragent en temps de danger. Ils aident les gens à s’ouvrir au Christ.
Les anges sont des êtres spirituels, dotés d’intelligence, d’émotions et de volonté. Ils possèdent une intelligence, laissent paraître des émotions et manifestent leur volonté.
Le fait qu’ils n’aient pas de corps physique n’affecte en rien leur personnalité
La connaissance que possèdent les anges est limitée. Ce sont des êtres créés: ils ne savent pas toutes choses contrairement à Dieu! Toutefois, ils semblent avoir une plus grande connaissance que les humains. Sans doute également parce qu’ils étudient la révélation que Dieu donne de lui-même dans la Bible plus ardemment que les hommes.
Leurs limites :
Les anges ne sont rien par eux-mêmes, car ils n’existent que par Dieu et pour Dieu. Même s’ils ont une volonté, ils sont des créatures soumises à la volonté de Dieu. La plus belle chose que nous puissions apprendre d’eux est leur obéissance rapide et totale aux ordres de Dieu.
Les anges constituent un ordre de créatures tout à fait différent des hommes. Les êtres humains ne deviennent pas des anges après leur mort. Les anges ne deviendront pas et n’ont jamais été des êtres humains. Dieu a créé les anges au même titre qu’il a créé l’humanité.
Mais la Bible ne déclare nulle part que les anges ont été créés à l’image et la ressemblance de Dieu, au contraire des hommes.
Oui le monde invisible existe! En prendre conscience ne doit en aucun cas amener à un culte des anges, mais au contraire à une rencontre plus personnelle avec Dieu, dans notre reconnaissance de sa puissance et de son amour. Car en effet à quoi pourrait bien servir la connaissance, si elle ne devait pas déboucher sur une relation d’amour?
Anges :
Les mots hébreu et grec traduits par ange signifient messager.
Ce qui souligne que leur statut est celui de serviteurs aux ordres et que le message est plus important que le messager.
Séraphins :
Leur nom signifie: « brûlants, ardents ». Ils ont pour fonction de louer Dieu. Enflammés de l’amour de Dieu au plus haut degré, leur but premier est la purification et la dissipation des ténèbres et des doutes.
Chérubins :
Ils sont chargés notamment d’occuper une charge de gardien. Ce sont eux qui, à partir de la Renaissance, ont souvent été dépeints comme de jeunes et gracieux enfants dotés d’une seule paire d’ailes.
Archanges :
Le préfixe « arch » signifie: premier, principal. Un archange est donc un ange-chef. Un texte de Paul le confirme: « Car lui-même, le Seigneur, au signal donné par la voix de l’archange et la trompette de Dieu, descendra du ciel ».
L’archange Miche l:
La Bible nous le présente comme un grand prince qui mène le combat contre Satan. Ce n’est donc pas n’importe qui!
L’archange Gabriel :
Est présenté comme le messager de la Parole de Dieu. Nous le voyons venir de la part de Dieu, soutenir Daniel, en lui révélant l’action de Dieu dans la suite des temps. Ensuite, dans l’évangile de Luc, il vient annoncer la venue du Messie.
L’archange Raphaël :
Protecteur des voyageurs, notamment de Tobie. Son nom signifie guérison de Dieu.
« J’aurais beau parler toutes les langues des hommes et des anges, si je n’ai pas la charité, s’il me manque l’amour, je ne suis qu’un cuivre qui résonne, une cymbale retentissante. » Ière Épitre de Saint Paul Apôtre aux Corinthiens chapitre 13:1
Une ribambelle d’angelots joufflus :
angelot 2 église Notre-Dame de l’Assomption de Valloire
« Avec leurs bonnes joues de bébés bien nourris, leurs boucles brunes ou blondes et leurs cuisses grassouillettes, ils volètent au retable, ornementant à profusion l’église de Valloire.
Ces angelots généralement sculptés dans le pin cembro qui abonde dans les vallées savoyardes, marquent des retables baroques époustouflants. Dans des décors d’une rare somptuosité, les anges ne sont que des bambins, qui exposent leur nudité enfantine sans complexe jusqu’au-dessus des autels. Ou bien leur seule tête, souriante, espiègle, rêveuse ou mélancolique, adornée d’ailes.
Sept anges d’une des rangées convergentes vers la couronne centrale portent chacun un instrument de la passion du Christ. On en dénombre deux cent quarante-deux dans l’église.
C’est dans cette l’église Notre-Dame-de-l ‘Assomption de Valloire, classée Monument historique et l’une des plus remarquables de Savoie, que l’ornementation éclate dans toute sa splendeur. Les angelots sont au rendez-vous, en myriades et en stuc à la voûte du chœur, aux pieds du Christ en gloire recueillant son sang, à l’autel Saint-Antoine, en véritables équilibristes sur les corniches, en nombre au tabernacle ou couronnant les statues du maître-autel. » Jeanine Trotereau
D’Isaïe :
Ils (les séraphins) se criaient de l’un à l’autre « Saint, Saint, Saint est le Seigneur de l’univers ! Toute la terre est remplie de sa gloire »
De Saint Basile le grand :
« Chaque croyant a près de lui un ange qui le protège et le conduit sur le chemin qui mène à la vie éternelle.
Les anges ont été visibles
Au cours des apparitions mariales de Fatima et de la rue du Bac.
Prière d’enfant à son ange gardien :
angelot 3 église Notre-Dame de l’Assomption de Valloire
– Veille sur moi quand je m’éveille.
– A mes côtés marche sans cesse.
– Parle-moi le long du chemin.
– Et pendant que je t’écoute.
– De peur que je ne tombe en route.
– Bon ange, donne-moi la main.
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Église Notre Dame de l’Assomption de Valloire
Paroisse Sainte Thècle Le Galibier