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sur un aspect de spiritualité : Christ, Vierge Marie, Église dans le monde…

MOIS DU ROSAIRE – jour 2 – De la dévotion du Rosaire.

MOIS DU ROSAIRE – jour 2 – De la dévotion du Rosaire.

mois du Rosaire - Le Roi lui dit : demandez, ma mère, je ne puis rien vous refusez
mois du Rosaire – Le Roi lui dit : demandez, ma mère, je ne puis rien vous refusez

Quoique la dévotion envers la glorieuse Vierge Marie doive être recommandée en général à tous les chrétiens, comme un puissant secours pour mener une vie plus sainte, comme un moyen de trouver plus d’accès auprès de Dieu, on peut dire qu’entre toutes les pratiques de dévotion inspirées aux fidèles par I‘Esprit-Saint pour rendre à la Mère de Dieu le culte qui lui est dû, celle de réciter le rosaire avec les sentiments conformes au but de son institution, est l’une des plus authentiques et des plus agréables à la sainte Vierge.

Aussi trouve-t-on peu de personnes recommandables par leur sainteté qui n’aient été zélées pour cette solide dévotion.

Avez-vous le même bonheur ? Si vous avez l’avantage de connaître l’excellence de la dévotion du Rosaire, et si, étant ou non dans une association ou équipe formée en l’honneur de Notre-Dame du Rosaire, vous honorez votre bonne Mère par ce tribut quotidien ou hebdomadaire de louanges, nous vous en félicitons, parce que nous sommes convaincus avec l’Église que ce sera pour vous une source de bénédiction et de salut dans le cours de votre vie et à l’heure de votre mort.

Si vous négligez cette pratique de dévotion, si vous n’en connaissez pas l’utilité, oh ! prenez, nous vous en conjurons, prenez la résolution de consacrer ce mois à méditer attentivement ce que nous allons tâcher de recueillir sur cette dévotion que les fidèles de nos jours n’apprécient plus en général comme elle mérite d’être appréciée, et par suite ne la pratiquent plus avec l’esprit, les dispositions qu’elle exige.

Pourquoi le mois d’octobre pour présenter des considérations sur la dévotion du Rosaire ? Parce que le 7 de ce mois l’Église célèbre la fête solennelle du saint Rosaire.

Plus une dévotion est générale et populaire, plus elle doit nous paraître sainte et divine. Par dévotions populaires, on ne peut entendre que celles qui sont plus répandues dans toute l’Église, et honorées du suffrage et des faveurs du saint Siège ; parce que les dévotions approuvées par le chef visible de l’Église sont vraies, solides et conformes à la foi.

De là, les dévotions populaires ne sont pas les dévotions propres uniquement au peuple, mais celles qui, si universellement répandues, sont plus accessibles à tous.

Cependant il en est qui critiquent ces dévotions populaires, parce qu’elles sont une continuelle censure de leur indifférence : ils déclament contre leur abus et contre leur multiplicité. Mais d’abord les abus ne peuvent jamais détourner d’une bonne œuvre ; il suffit de les connaître et de s’en préserver.

N’abuse-t-on pas des meilleures choses ? Ces dévotions ne sont-elles pas bonnes en elles-mêmes, comme par leurs effets ? Si ‘elles ne l’étaient pas, comment l’église les aurait-elle approuvées et enrichies d’indulgence ?

D’ailleurs, elles se bornent à des exercices pieux, à des prières communes ou particulières, à quelques œuvres de charité ; or, rien n’est plus capable de nourrir et d’animer la piété ; rien n’est plus propre à resserrer tous les liens de la religion, à répandre partout l’édification et à exciter une sainte émulation.

Quant à la multiplicité des dévotions que l’on se plaît à critiquer, c’est un reproche qui semble sinon ridicule, du moins injuste ; car il en est des dévotions, comme des mets dans un repas, ou des fleurs dans un jardin : on n’impose à personne l’obligation de manger de tous les mets, ni à un particulier de cultiver toutes les fleurs.

On ne force personne non plus à embrasser toutes les dévotions : la variété des fleurs dans un jardin et la diversité des mets sur une table sont tout à la fois un ornement et une nécessité pour s’adapter à tous les goûts : de même la multiplicité des dévotions est un ornement pour la piété et une ressource pour les fidèles ; mais ils peuvent choisir parmi les dévotions qui leur plaisent davantage, celles qui sont plus analogues à leur état ou à leurs besoins, et qui ne peuvent ni les surcharger, ni nuire à leurs devoirs ou à leurs emplois.

Parmi les dévotions destinées à honorer la sainte Vierge, il en est une surtout qui a l’avantage d’être plus ancienne, plus connue, plus facile et plus universellement répandue, à savoir : celle du Rosaire.

Nous traiterons la solide dévotion du Chapelet et du Rosaire. Nous disons du chapelet et du rosaire ; car ce sont deux dévotions souvent confondues, n’y ayant au fond que quelques nuances presque imperceptibles qui les distinguent ; nous parlerons donc d’abord du chapelet, et ensuite nous nous étendrons sur ce qui concerne le rosaire.

Nous ne voulons rien exagérer et nous nous garderons bien de dire que la dévotion du rosaire est une marque infaillible de prédestination, le signe le plus certain du salut et le gage le plus assuré d’une alliance éternelle avec Jésus et Marie.

Mais nous ne craignons pas de dire avec confiance , en commençant ce mois, que la dévotion éclairée et pratique du rosaire est un grand moyen de salut, une voie sûre pour se procurer la protection de la Mère et les faveurs du Fils et que ces avantages sont promis aux vrais dévots du Rosaire, qui, prosternés au pied de l’autel de Marie , ne s’en approchent pas de bouche mais du cœur, et ne l’honorent pas seulement des lèvres , mais du fond de leurs entrailles. (Isaïe 29, 13).

Résolution

Si nous mettons en pratique la dévotion du Rosaire, nous devons aimer à connaître sa solidité et ses avantages ; si nous ne la mettons pas en pratique, nous serions plus qu’indifférents si nous ne prenions pas la résolution de nous éclairer sur ce point dans le cours du mois d’octobre, dont le 7 est consacré par l’Église à Notre-Dame-du-Rosaire.

PRIÈRE

Nous venons nous mettre à vos pieds, Vierge Sainte, pour vous demander de bénir ce nouveau mois et d’en accepter l’humble dédicace. Obtenez-nous de l’Esprit Saint les lumières qui nous sont nécessaires pour en profiter. Il n’a été composé qu’en vue de nous rappeler une dévotion qui a toujours été chère à vos servantes et serviteurs, parce que vous avez donné mille preuves qu’elle vous était agréable.

Faites, Vierge sainte, secours des chrétiens, qu’elle produise encore de nos jours les effets qu’elle produisit lorsque vous l’avez inspirée à saint Dominique. Ainsi soit-il.

Du manuel de Liège 1847

LE ROSAIRE, NOTRE PRIÈRE PRÉFÉRÉE

Cette prière que Marie dit avec les Apôtres dans le Cénacle s’appelle le Rosaire. Et elle est notre prière préférée, celle que nous lui adressons, « à elle, Marie ». Certainement! Mais n’oublions pas, toute­fois, que le Rosaire est en même temps, « notre prière avec Marie ». Elle est la prière de Marie avec nous, avec les successeurs des Apôtres qui ont constitué le commencement du nouvel Israël, du Nouveau Peuple de Dieu.

Nous venons donc ici pour prier avec Marie; pour méditer avec elle les mystères que comme Mère elle méditait dans son cœur (cf. Le 2, 19) et continue à méditer et à approfondir. Parce que ce sont là les mystères de la vie éternelle. Tous ont leur propre dimension eschatologique. Ils plongent tous en Dieu lui-même. En ce Dieu qui « habite une lumière inaccessible » (1 Tm 6, 16), plongent tous ces mystères si simples et si « accessibles ». Et si étroitement liés à l’histoi­re de notre salut.
Saint Jean-Paul II – Osservatore Romano du 30-10-1979

écouter son Ange gardien

écouter son Ange gardien

Tobie et Raphaël – baie 6 – église Saint Pierre Apôtre – Montréal – Québec – Canada

Dieu a donné à chacun la « compagnie » d’un Ange pour le conseiller et le protéger, un Ange à écouter avec docilité. La preuve d’une paternité qui aime et protège se trouve dans les premières pages de la Bible. Lorsque Dieu chasse Adam du Paradis, il ne le laisse pas seul, il ne lui dit pas :  « arrange-toi comme tu peux ».

Un ambassadeur de Dieu à côté de nous

Les prières et les psaumes rappellent comment la figure de l’Ange gardien a toujours été présente dans la relation entre l’Homme et le Ciel. « J’envoie un ange devant toi pour te guider sur le chemin et pour te faire entrer dans le lieu que j’ai préparé », affirme le passage du livre de l’Exode proposé par la liturgie. Une liturgie consacrée à ces présences divines particulières, que « le Seigneur a donné à tous ». « Chacun de nous en a un », qui « nous accompagne. »

« Il est toujours avec nous ! C’est une réalité. Il est comme un ambassadeur de Dieu avec nous. Et le Seigneur nous dit : ‘Ayez du respect pour sa présence !’. Quand nous faisons un mal et nous pensons que nous sommes seuls : non, il est là. Il faut avoir du respect pour sa présence. Écouter sa voix, parce que lui nous conseille. Ainsi, quand nous sentons cette inspiration : ‘Agis comme ceci… cela est mieux… ne fais pas cela…’ Écoute ! Ne te rebelle pas contre lui. »

Respecte-le et écoute-le

L’Ange gardien nous défend toujours du mal. Parfois « nous pensons que nous pouvons cacher les choses », « de mauvaises choses », qui finalement seront toujours mis en lumière. Et l’Ange est là « pour nous conseiller », exactement comme ferait « un ami ». « Un ami que nous ne voyons pas, mais que nous sentons ». Un ami qui un jour « sera avec nous dans le Ciel, dans la joie éternelle. »

« Il demande seulement de l’écouter, de le respecter » et cela s’appelle « la docilité ». « Le chrétien doit être docile à l’Esprit Saint. La docilité à l’Esprit Saint commence avec cette docilité aux conseils de ce compagnon de chemin. »

Dociles avec l’Ange qui nous guide

Pour être dociles, nous devons être petits, comme des enfants. Donc l’Ange gardien est « un compagnon de chemin » qui enseigne l’humilité et que nous devons écouter comme des enfants.

« Demandons aujourd’hui au Seigneur la grâce d’être docile, d’écouter la voix de ce compagnon, de cet ambassadeur de Dieu qui est à côté de nous, et d’être soutenus par son aide. D’être toujours en chemin… Et pendant cette messe, par laquelle nous louons le Seigneur, souvenons-nous comme le Seigneur est bon, car après avoir perdu son amitié, il ne nous a pas laissés seuls, il ne nous a pas abandonnés. »

En ce jour de la Fête des Anges gardiens, c’est sur ce thème que le Pape François a développé son homélie à la messe, célébrée dans la chapelle de la maison Sainte-Marthe le 02-10-2015 (source Radio Vatican).

SAINTS ANGES GARDIENS

La fête du 29 septembre nous associait aux anges dans ce qui constitue l’essentiel de leur vocation : chanter la gloire de Dieu, et aujourd’hui les antiennes d’ouverture et de la communion nous invitent à continuer cette louange divine, qui est toute la raison d’être de la création, la mission primordiale de l’Église:

« Tous les anges du Seigneur, bénissez le Seigneur ; chantez sa louange et proclamez sa gloire, éternellement. » (Antienne de couverture Daniel 3, 58)

« Je te chante, Seigneur, en présence des anges qui voient sans cesse ta face dans les cieux. »
(Antienne de communion Psaume 137, 1; Mt 18, 10)

Mais la Mémoire des Anges gardiens nous rappelle une autre fonction des anges : ils assurent près des hommes une présence fraternelle. En effet, «dans sa mystérieuse providence, Dieu envoie ses anges pour nous garder » (Prière d’ouverture).

L Ancien Testament évoque souvent l’intervention d’un ange pour guider les patriarches dans leurs pérégrinations ou pour protéger le peuple de Dieu lors de son entrée dans la terre de Chanaan (Exode 23, 20-23a); et le Psaume 90 nous fait chanter : « Dieu donne mission à ses anges de te garder sur tous tes chemins. De leurs mains ils te porteront, pour qu’à la pierre ton pied ne heurte ».

Jésus devait parler, lui aussi, de cette assistance des anges qui nous est assurée. En rappelant la dignité des enfants, il déclare : « Leurs anges dans les cieux voient sans cesse la face de mon Père qui est aux cieux. » (Matthieu 10, 1…10).

C’est donc en nous appuyant sur sa parole que nous prions le Seigneur de nous assurer « le bienfait de la protection des anges et la joie de vivre en leur compagnie pour toujours » (Prière d’ouverture).

Autre méditation du Pape François : notre ange gardien existe

Il y a plus d’espérance à être pécheur que corrompu

Il y a plus d’espérance à être pécheur que corrompu

Pour le premier Angélus du mois d’octobre, le Pape François devant la foule place Saint-Pierre une a médité  sur la sincérité et l’honnêteté de chacun, commentant l’épisode de l’Évangile selon saint Matthieu dans lequel le père demande à ses deux fils d’aller travailler à la vigne. Après la prière mariale, appel pour le Haut-Karabakh, l’Ukraine, annonce d’une initiative avec des enfants du monde entier, le 6 novembre, et d’une Exhortation apostolique, le 15 octobre, dédiée à Sainte Thérèse.

PAPE FRANÇOIS

ANGELUS

Place Saint Pierre
Dimanche 1er octobre 2023

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Chers frères et sœurs, bonjour.

Aujourd’hui, l’Évangile parle de deux enfants, à qui le père demande à aller travailler dans le vignoble (cf. Mt 21:28-32). L’un d’eux répond immédiatement «oui», mais il ne part pas. L’autre, il dit non, mais ensuite il regrette et s’en va.

Qu’en est-il de ces deux comportements ? On pense tout de suite qu’aller travailler à la vigne demande des sacrifices et que sacrifier des coûts, cela ne vient pas spontanément, malgré la beauté de se savoir enfants et héritiers.

Mais le problème ici n’est pas tant lié à la résistance à aller travailler à la vigne, mais à la sincérité ou non envers le père et envers soi-même. En effet, si aucun des deux enfants ne se comporte de manière impeccable, le premier ment, tandis que l’autre fait des erreurs, mais reste sincère.

Nous regardons le fils qui dit «oui», mais ensuite il ne s’en va pas. Il ne veut pas faire la volonté de son père, mais il ne veut pas en discuter et lui parler. Il se cache donc derrière un «oui», derrière un faux assentiment, qui cache sa paresse et pour l’instant sauve son visage, c’est un hypocrite. Il s’en sort sans conflit, mais il trompe et déçoit son père, le méprisant d’une manière pire qu’il n’aurait fait avec un « non » franc.

Le problème d’un homme qui se comporte comme ça est qu’il n’est pas seulement un pécheur, mais un homme corrompu, parce qu’il se cache sans problème pour dissimuler et camoufler sa désobéissance, sans accepter aucun dialogue ou confrontation honnête.

L’autre fils, celui qui dit « non » mais qui s’en va, est sincère. Ce n’est pas parfait, mais sincère. Bien sûr, nous aurions aimé qu’il dise « oui » immédiatement. Ce n’est pas le cas, mais à tout le moins il manifeste un sens franc et, dans un certain sens, sa réticence. Il assume la responsabilité de son comportement et agit à la lumière du soleil.

Puis, avec cette honnêteté fondamentale, il finit par s’interroger, allant jusqu’à se rendre compte qu’il avait tort et revenir sur ses pas. C’est, on pourrait dire, un pécheur, mais pas un homme corrompu. Ressentez-vous bien: c’est un pécheur, mais ce n’est pas un homme corrompu. Et pour le pécheur, il y a toujours un espoir de rédemption, car c’est cependant beaucoup plus difficile.

En fait, son faux « oui », ses semblances élégantes mais hypocrites et ses fictions qui sont devenues des habitudes sont souvent comme un « mur en caoutchouc », derrière lequel il s’abrite des appels de la conscience. Et ces hypocrites ont tellement fait mal. Frères et sœurs, pécheurs oui – nous sommes tous – corrompus, non pas. Les pécheurs, oui, corrompus non.

Regardons-nous maintenant et, à la lumière de tout cela, posons-nous quelques questions. Face à l’effort pour vivre une vie honnête et généreuse, pour m’engager selon la volonté du Père, suis-je prêt à dire « oui » tous les jours, même si ça coûte ? Et quand je ne peux pas le faire,  suis-je sincère en confrontant Dieu à propos de mes difficultés, de mes chutes, de mes faiblesses ?

Et quand je dis « non », alors est-ce que je reviens en arrière ? Parlons-en au Seigneur. Quand j’ai tort, suis-je prêt à me repentir et à revenir sur mes pas ? Ou est-ce que je fais comme si de rien n’était et que je vis avec un masque, en me souciant uniquement de paraître bon et décent ? En fin de compte, suis-je un pécheur, comme tout le monde, ou y a-t-il quelque chose de corrompu en moi ? N’oubliez pas : Pécheurs, oui. Corrompus, non.

Que Marie, miroir de sainteté, nous aide à être des chrétiens sincères.

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Après l’Angélus

Chers frères et sœurs,

Hier, à Plaisance, a été reconnu bienheureux Don Giuseppe Beotti, qui a été tué en haine de la foi en 1944. Pasteur selon le cœur du Christ, il n’a pas hésité à offrir sa vie pour protéger le troupeau qui lui a été confié. Une série d’applaudissements au nouveau bienheureux.

Je suis ces jours-ci la situation dramatique des personnes déplacées du Haut-Karabakh. Je renouvelle mon appel au dialogue entre l’Arménie et l’’Azerbaidjian, en espérant que les pourparlers entre les parties, avec l’appui de la communauté internationale, favoriseront un accord durable qui mettra fin à la crise humanitaire. Je vous assure de mes prières pour les victimes de l’explosion d’un dépôt de carburant près de la ville de Stepanakert.

Aujourd’hui commence le mois d’octobre, le mois du Rosaire et des missions. J’exhorte chacun à faire l’expérience de la beauté de la prière du Rosaire, en contemplant avec Marie les mystères du Christ et en invoquant son intercession pour les besoins de l’Église et du monde.

Prions pour la paix en Ukraine tourmentée et dans tous les pays blessés par la guerre. Nous prions pour l’évangélisation des peuples. Prions aussi pour le Synode des évêques, qui vivra ce mois-ci la première Assemblée sur le thème de la synodalité de l’Église.

Aujourd’hui, nous célébrons sainte Thérèse de l’Enfant de Jésus,  la sainte de la confiance. Le 15 octobre, une Exhortation apostolique sera publiée sur son message. Nous prions sainte Thérèse et Notre-Dame. Aidez-nous Sainte Thérèse à avoir confiance et à travailler pour les missions.

Je vous salue tous, Romains et pèlerins venus d’Italie et de nombreux pays.  Aujourd’hui, à côté de moi, vous pouvez voir cinq enfants, représentant les cinq continents. Avec eux, je voudrais annoncer que dans l’après-midi du 6 novembre, dans la salle Paul VI, je rencontrerai des enfants du monde entier. Cette manifestation, parrainée par le Dicastère pour la culture et l’éducation, aura pour thème « Apprenons des garçons et des filles ».

C’est une rencontre pour manifester le rêve de tous : revenir à des sentiments purs comme des enfants, parce que pour ceux qui sont comme un enfant appartient le Royaume de Dieu. Les enfants nous enseignent la clarté des relations et l’acceptation spontanée de ceux qui sont étrangers et le respect de toute la création. Chers enfants, j’attends d’apprendre de vous tous aussi.

Je vous souhaite à tous un bon dimanche. Et s’il vous plaît n’oubliez pas de prier pour moi. Passe un bon déjeuner et adieu.


Dicastère pour la communication – Libreria Editrice Vaticana

Texte traduit et présenté par l’Association de la Médaille Miraculeuse