Archives de catégorie : Méditation

sur un aspect de spiritualité : Christ, Vierge Marie, Église dans le monde…

Le Pape François aux JMJ de 2023

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Le Pape rappelle aux jeunes que Dieu les aime et les appelle.

Le Pape François a été acclamé par plus de 500 000 jeunes pèlerins lors de la cérémonie d’accueil des JMJ à Lisbonne. Au cours de ce premier grand rendez-vous avec la jeunesse catholique du monde, i a invité son auditoire à s’appeler les uns les autres par son nom, comme le fait Dieu avec nous, et à nous rappeler la beauté d’être aimés. Il a aussi encouragé les jeunes à poser des questions à Jésus.

Il s’est rendu jeudi 3 août en fin de matinée à Cascais, près de Lisbonne, pour rencontrer des jeunes étudiants du réseau Scholas Occurrentes. Il a répondu de manière improvisée aux questions des jeunes, abordant notamment le thème des crises et du service.

Le Pape à Fatima: Marie s’empresse toujours de nous conduire à Jésus.

Le Pape François s’est rendu samedi 5 août au matin au sanctuaire Notre-Dame de Fatima, dans le cadre des Journées Mondiales de la Jeunesse. Il y a prié le chapelet avec de jeunes malades …

À Fatima, la prière silencieuse du Pape pour la paix

Le long silence de François résume la voix de millions d’âmes, unies par le seul souhait que le monde oublie l’horreur de la guerre, de toutes les guerres. Le rosaire de Fatima du Saint-Père, a été partagé par 200 000 personnes en direct, sans compter ceux qui priaient.

Durant ce «long moment de silence» dans la petite chapelle devant la Vierge, «le Pape a prié, avec douleur, pour la paix». Une sorte d’anticipation du quatrième mystère du Rosaire récité peu après devant le sanctuaire, qui comportait cette même supplication en son cœur.

Après le chapelet de François au sanctuaire portugais, le compte @Pontifex a diffusé une image avec une prière de François à la Vierge: «Nous te consacrons l’Église et le monde, en particulier les pays en guerre».

Devant l’effigie mariale, le texte d’une intense prière.

«Avec un cœur d’enfant, nous te consacrons nos vies, pour toujours. Nous te consacrons l’Église et le monde, en particulier les pays en guerre», peut-on lire dans cette supplique, qui se poursuit ainsi: «Obtiens-nous la paix. Toi, Vierge du chemin, ouvres des routes là où il semble ne pas y en avoir…Toi qui ne te laisses jamais vaincre en générosité, remplis-nous de tendresse, comble-nous d’espérance et donne-nous de gouter la joie qui ne passe pas, la joie de l’Évangile. Amen».

Lors de la Via crucis des JMJ: le Pape rappelle que Jésus nous accompagne toujours

Nous ne sommes pas seuls. C’est l’enseignement que le Pape François a délivré lors du chemin de croix des Journées mondiales de la jeunesse de Lisbonne. Devant les pèlerins du monde entier, le Saint-Père a expliqué que Jésus ne nous abandonne jamais, espérant toujours être suivi, lui qui nous accompagne toujours.

Le Pape François demande aux jeunes d’être dignes de ceux qui leur ont transmis la foi

1 500 000 jeunes ont participé à la veillée des JMJ et ont écouté le Pape les appeler à «se lever et partir», à se relever de leurs échecs, pour devenir des «missionnaires de la joie» et marcher dans l’espérance en repartant de leurs racines.

C’est au parc Tejo, sur la rive droite du Tage, que les jeunes se sont rassemblés dès le début de l’après-midi du samedi 5 août pour retrouver le Pape. La veillée de prière a débuté tôt, par l’arrivée en bateau sur le Tage d’une procession portant la Croix des JMJ et l’icône de la Vierge « Salus Populi Romani ».

Lorsque le Pape François arrive sur l’esplanade, après un long bain de foule en voiture découverte au milieu des drapeaux qui transforment Lisbonne en un échantillon universel, il est salué à la fois par le million et demi de jeunes présents, et par deux avions de l’armée de l’air portugaise qui survolent la capitale.

La première partie de la veillée est rythmée, festive, animée par 200 choristes, un orchestre et un ensemble chorographique composé de jeunes de 21 nationalités différentes. La musique et le bruit se taisent lorsque sur les écrans géants apparait la phrase: «Je te parle», traduite dans toutes langues.

Seigneur, que veux-tu que je fasse?

Antonio, 33 ans, Portugais, livre alors son témoignage. Sa vie a changé après un accident de voiture. «J’ai réalisé que j’aurais pu mourir. J’ai compris que si mon pèlerinage sur Terre s’arrêtait à ce moment-là, ma vie n’en valait pas la peine», affirme-t-il. Il a questionné Dieu: «Seigneur, que veux-tu que je fasse?». Dès lors, la joie de la rencontre avec le Christ a commencé à remplir son cœur et à lui donner envie d’apporter cette joie à d’autres: «Je suis rentré au séminaire en 2019 et j’ai été ordonné prêtre en 2021 pour essayer d’apporter aux autres la joie de trouver le Christ, d’être trouvé par Lui. Une joie qui n’est pas éphémère, une joie qui m’est offerte par le Ciel».

Dans le ciel lisboète, des drones coordonnés s’exécutent affichant «lève-toi» en plusieurs langues. Les chants remplissent à nouveau l’assemblée, jusqu’au second témoignage.

Des terroristes ont attaqué notre village

Marta Luis est mozambicaine. Elle a 18 ans et vient d’un village pauvre de la région de Cabo Delgado. Lorsque des hommes en armes ont attaqué son village à deux reprises en avril et en octobre 2021, Marta et sa famille se sont réfugiées dans la forêt ne cessant de prier Marie et le Seigneur «de ne pas laisser le pire se produire». Sans eau ni nourriture, en marche pendant plusieurs jours, Marta témoigne: «Au milieu de tant de souffrances, nous n’avons jamais perdu la foi et l’espoir qu’un jour nous reconstruirons nos vies».

À cet instant, le chœur et l’orchestre interprètent l’antienne: «Sur le chemin je t’ai trouvé, ta force me relève». Les drones continuent d’illuminer le ciel tandis que les danseurs s’inclinent devant la Croix et l’icône de la Vierge. Le silence revient. Le Pape parle aux jeunes.

La transmission de la joie

Le Pape François fait une comparaison entre Marie et les jeunes qu’il a devant lui: «Merci d’avoir voyagé, marché et d’être venus!». Ces jeunes sont comme Marie qui elle aussi a voyagé pour se rendre chez sa cousine Élisabeth. Marie vient apprendre qu’elle enfantera et elle ressent le besoin de partager immédiatement sa joie avec les autres parce que «la joie est missionnaire», constate le Pape qui ajoute: «La joie que nous avons reçue, d’autres nous ont préparés à la recevoir, ils ont préparé nos cœur à la joie».

Les racines de la joie

«Nous avons tous des personnes qui ont été des rayons de lumière: parents et grands-parents, prêtres et religieuses, catéchistes, animateurs, enseignants… Ils sont les racines de notre joie», explique le Pape demandant quelques instants de silence pour «penser à ceux qui nous ont donné quelque chose dans la vie, qui sont comme les racines de la joie».

À leur tour, les jeunes devront etre des missionnaires et des racines de joie pour les autres. «Il s’agit d’apporter une joie qui crée des racines», dit François. Et pour ce faire il sera nécessaire de se lever et de partir à sa recherche, car «la joie n’est pas enfermée dans la bibliothèque». Il faudra la découvrir dans le dialogue avec les autres auxquels «nous devons donner ces racines de joie que nous avons reçues».

Marcher ensemble

Avec les autres, nous sommes appelés à marcher ensemble, ce qui signifie que lorsqu’il arrive à l’un d’entre nous de tomber, de connaitre l’échec, de se retrouver fatigué et sur le point de «jeter l’éponge», nous devons l’aider à se relever. Comme ce chant alpin que cite François: «Dans l’art d’escalader la montagne, l’important n’est pas de tomber, mais de se relever».

Ceux qui restent à terre, explique le Saint-Père, se sont déjà retirés de la vie, ils sont fermés à l’espérance et restent figés dans leur chute. «Quand nous voyons certains de nos amis qui sont tombés, que devons-nous faire? Les relever», exhorte l’évêque de Rome. Et de souligner que «le seul moment où il est permis de regarder une personne de haut en bas, c’est pour l’aider à se relever».

Se lever et partir

Pour le Pape, tout est une question d’entrainement: «Parfois, on n’a pas envie de marcher, on n’a pas envie de faire des efforts». François, que l’on sait amateur de football, fait cette métaphore sportive: «Qu’est-ce qui se cache derrière un but? Beaucoup d’entraînement». Derrière tout succès, il y a beaucoup de travail.

C’est pourquoi, à chaque chute, il faut se relever ou être aidé à se relever, puis repartir, marcher avec un but et s’entraîner chaque jour, car «dans la vie, rien n’est gratuit. Tout se paie. Il n’y a qu’une seule chose gratuite: l’amour de Jésus. Alors, avec cette gratuité de l’amour de Jésus que nous recevons», conclut le successeur de Pierre, «marchons dans l’espérance, regardons nos racines et allons de l’avant, sans peur. N’ayez pas peur».

La Mère du Rédempteur

La Mère du Rédempteur

Marie Mère du Rédempteur monastère de sainte Catherine au Mont Sinaï
Marie Mère du Rédempteur monastère de sainte Catherine au Mont Sinaï

Dans le système dogmatique de l’Église catholique, la Mère du Christ apparaît à côté du Christ, le nouvel Adam, non seulement en tant que terre vivante, dont il est formé, mais elle entre également au premier plan en tant que nouvelle Ève, c’est-à-dire comme personne liée au Christ par la communication la plus intime et la plus vivante, et qui, en et par lui, préside l’univers tout entier, comme Ève avec Adam a présidé le monde terrestre.

Avec le Christ, elle constitue la pierre angulaire, la racine ainsi que la couronne de l’ordre surnaturel et, par son activité, elle participe pleinement à son œuvre de rédemption… La mère du Rédempteur est le premier et le plus parfait fruit de la rédemption, à travers la richesse personnelle de sa vie surnaturelle et à travers son activité.

En ce qui concerne sa dignité, sa vertu et son activité, elle préfigure la grâce de rédemption, qui sera distribuée à tous les autres rachetés. En d’autres termes, Marie, la mère spirituelle de chaque âme rachetée et de l’Église dans son ensemble, est à la fois le modèle de la filiation divine de la grâce des rachetés et de la maternité céleste de l’Église…

À propos de la place de Marie dans le plan divin du monde, notons ce que dit saint Bernard :
D’une manière substantielle, le Christ effectua le salut au centre de la terre, nommément en la Vierge Marie, appelée centre de la terre en raison de ses caractéristiques extraordinaires.

Car, vers elle, regardent, comme le centre, comme l’autel de Dieu, comme la cause des choses, et comme l’économie des siècles, ceux qui sont au paradis, ceux qui sont en enfer et ceux qui nous ont précédés, et ceux qui sont maintenant et ceux qui suivront : ceux qui sont dans les cieux pour être restaurés, ceux qui sont en enfer afin qu’ils soient libérés ; ceux qui sont passés avant nous pour être trouvés fidèles, et ceux qui suivent pour être glorifiés.

Toutes les générations appelleront bienheureuse la Mère de Dieu, la Maîtresse du Monde, la Reine du Ciel qui a donné vie et gloire à toutes les générations. Car en elle les anges trouvent la joie, la juste grâce et les pécheurs le pardon. À bon droit, les yeux de toutes les créatures se tournent vers elle, car en elle et par elle la main bénigne de Dieu a recréé ce qu’il avait créé.

Matthias Joseph Scheeben

 

Prière de Sainte Louise de Marillac

Sainte Louise de Marillac
Sainte Louise de Marillac

Je suis à vous, Sainte Vierge, pour être plus parfaitement à Dieu. Vous appartenant, apprenez-moi à imiter votre sainte vie, par l’exécution de ce que Dieu demande de moi.

Je requiers en tout humilité votre assistance ; vous connaissez ma faiblesse, vous voyez mon cœur. Faites, s’il vous plaît, par vos prières, ce que je laisse par mon impuissance et négligence.

Puisque c’est de votre cher Fils, mon Rédempteur, que vous avez pris les héroïques vertus que vous avez pratiquées sur la terre, unissez l’esprit de mes actions à sa sainte présence pour la gloire de son saint Amour.

Que toute créature honore vos grandeurs, vous regarde comme assuré moyen pour aller à Dieu, vous aime par préférence à toute autre pure créature, que chacune vous rende la gloire que vous méritez comme fille bien aimée du Père, mère du Fils et digne épouse du Saint Esprit.

Saint Louise de Marillac – Écrits spirituels p. 693

Chercher, trouver et se dépenser pour des perles précieuses

Chercher, trouver et se dépenser pour des perles précieuses

Quelques jours avant de se rendre à Lisbonne au Portugal pour les JMJ, le Pape François a animé la prière mariale de l’Angélus sur la Place Saint Pierre. En commentant l’évangile du 17ème dimanche du temps ordinaire, qui rapporte la parabole des perles précieuses, le Saint-Père invite à ne pas «s’enfermer dans l’habitude, dans la médiocrité, mais à raviver le désir, à cultiver des rêves, à chercher la nouveauté du Seigneur».

LE PAPE FRANÇOIS

ANGELUS

Place Saint-Pierre
dimanche 30 juillet 2023

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Chers frères et sœurs, bonjour !

Aujourd’hui, l’Évangile raconte la parabole d’un marchand à la recherche de perles précieuses. Celui-ci, dit Jésus, « ayant trouvé une perle de grande valeur, il va vendre tout ce qu’il possède et l’achète » (Mt 13, 46). Arrêtons-nous un instant sur les gestes de ce marchand, qui d’abord cherche, puis trouve et enfin achète.

Première étape : regarder. C’est un marchand entreprenant qui ne reste pas immobile mais quitte sa maison et part à la recherche de perles précieuses. Il ne dit pas : « Celles que j’ai me suffisent », il en cherche de plus belles.

Et c’est pour nous une invitation à ne pas nous enfermer dans la routine, dans la médiocrité de ceux qui sont satisfaits, mais à raviver le désir, pour que le désir de chercher, d’avancer ne meure pas ; cultiver des rêves de bien, rechercher la nouveauté du Seigneur, car le Seigneur n’est pas répétitif, il apporte toujours de la nouveauté, la nouveauté de l’Esprit, il renouvelle toujours les réalités de la vie (voir Ap 21, 5). Et nous devons avoir cette attitude : chercher.

Le deuxième geste du marchand est de trouver. C’est une personne avisée, qui « a de l’œil » et sait reconnaître une perle de grande valeur. Ce n’est pas facile. On pense, par exemple, aux fascinants bazars orientaux, où les étals, pleins de marchandises, s’entassent le long des murs des rues pleines de monde ; ou à certains étals que l’on voit dans de nombreuses villes, remplis de livres et d’objets divers.

Parfois dans ces marchés, si l’on s’arrête et regarde bien, on peut découvrir des trésors : des choses précieuses, des volumes rares qui, mêlés à tout le reste, ne se remarquent pas au premier coup d’œil. Mais le marchand de la parabole a l’œil attentif et sait trouver, sait « discerner » pour trouver la perle.

Cela aussi est une leçon pour nous : chaque jour, à la maison, dans la rue, au travail, en vacances, nous avons l’occasion de voir de bonnes choses. Et il est important de savoir trouver ce qui compte : s’entraîner à reconnaître les perles précieuses de la vie et à les distinguer du bric-à-brac.

Ne perdons pas de temps et de liberté sur des choses anodines, des passe-temps qui nous laissent vides à l’intérieur, alors que la vie nous offre chaque jour la perle précieuse d’une rencontre avec Dieu et avec les autres ! Il faut savoir le reconnaître : discerner pour le trouver.

Et le dernier geste du marchand : acheter la perle. Se rendant compte de son immense valeur, il vend tout, sacrifie tout pour l’avoir. Changez radicalement l’inventaire de votre entrepôt; il ne reste plus que cette perle : c’est sa seule richesse, le sens de son présent et de son avenir. C’est aussi une invitation pour nous. Mais quelle est cette perle pour laquelle on peut tout renoncer, celle dont le Seigneur nous parle ?

Cette perle c’est Lui-même, c’est le Seigneur ! Cherchez le Seigneur et trouvez le Seigneur, rencontrez le Seigneur, vivez avec le Seigneur. La perle, c’est Jésus : Il est la perle précieuse de la vie, à chercher, à trouver et à s’approprier. Cela vaut la peine de tout investir en lui car la vie change quand on rencontre le Christ. Si vous rencontrez Christ, cela change votre vie.

Revenons donc aux trois gestes du commerçant – chercher, trouver, acheter – et posons-nous quelques questions.

Recherche : suis-je, dans ma vie, en recherche ? Est-ce que je me sens à l’aise, suis-je arrivé, suis-je satisfait ou est-ce que j’entraîne mon désir de bien ? Suis-je en « retraite spirituelle » ? Combien de jeunes sont à la retraite !

Deuxième geste, trouver : est-ce que je m’exerce à discerner ce qui est bon et vient de Dieu, sachant renoncer à ce qui au contraire me laisse peu ou rien ?

Enfin, acheter : puis-je me dépenser pour Jésus ? Il vient en premier pour moi, est-il le plus grand bien de la vie ? Ce serait bien de lui dire aujourd’hui : « Jésus, tu es mon plus grand atout ».

Que chacun le dise maintenant dans son cœur : « Jésus, tu es mon plus grand bien ». Marie aide-nous à chercher, trouver et embrasser Jésus de tout nous-mêmes.
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Après l’angélus

Chers frères et sœurs !

Aujourd’hui, nous célébrons deux Journées mondiales organisées par l’ONU : la Journée de l’amitié et la Journée contre la traite des êtres humains. Le premier promeut l’amitié entre les peuples et les cultures ; le second combat le crime qui fait de l’homme une marchandise.

La traite est une réalité terrible, qui touche trop de personnes : enfants, femmes, travailleurs…, beaucoup de personnes exploitées ; tous vivent dans des conditions inhumaines et souffrent de l’indifférence et du rejet de la société. Il y a beaucoup de trafic dans le monde aujourd’hui. Que Dieu bénisse ceux qui se sont engagés à lutter contre la traite.

Ne cessons de prier pour l’Ukraine meurtrie, où la guerre détruit tout, même le grain. C’est une grave offense à Dieu, car le blé est son don pour nourrir l’humanité ; et le cri de millions de frères et sœurs souffrant de la faim monte jusqu’au Ciel. J’en appelle à mes frères, les autorités de la Fédération de Russie pour que l’initiative de la mer Noire reprenne et que le grain puisse être transporté en toute sécurité.

Le 4 août prochain marquera le troisième anniversaire de l’explosion dévastatrice du port de Beyrouth. Je renouvelle mes prières pour les victimes et leurs familles, qui sont en quête de vérité et de justice, et j’espère que la crise complexe au Liban trouvera une solution digne de l’histoire et des valeurs de ce peuple. N’oublions pas que le Liban est aussi un message.

Je vous demande de m’envoyer vos prières pour mon voyage au Portugal, que j’effectuerai à partir de mercredi prochain, à l’occasion des Journées Mondiales de la Jeunesse.

De nombreux jeunes, de tous les continents, connaîtront la joie de rencontrer Dieu et leurs frères, guidés par la Vierge Marie, qui après l’Annonciation « se leva et partit en hâte » (Lc 1, 39). A elle, étoile brillante du cheminement chrétien, si vénérée au Portugal, je confie les pèlerins des JMJ et tous les jeunes du monde.

Et maintenant je vous salue, Romains et pèlerins d’Italie et de nombreux pays. En particulier, je salue le chœur d’enfants de Veliko Tarnovo, en Bulgarie, et le groupe de jeunes mexicains ; ainsi que les adolescents de Biadene et Caonada. Et je salue les garçons de l’Immaculée Conception.

Je souhaite à tous un bon dimanche. S’il vous plaît, n’oubliez pas de prier pour moi. Bon déjeuner et au revoir !


Copyright © Dicastero per la Comunicazione – Libreria Editrice Vaticana

Texte traduit et présenté par l’Association de la Médaille Miraculeuse