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Neuvaine à Notre-Dame de la Médaille Miraculeuse 4

Neuvaine à Notre-Dame de la Médaille Miraculeuse

4e jour : PRIEZ POUR NOUS, QUI AVONS RECOURS À VOUS..

Sainte Marie, Priez pour nous qui avous recours à vous
Sainte Marie, Priez pour nous qui avous recours à vous

Faites frapper une médaille sur ce modèle. Marie est associée par Jésus à son œuvre de Salut. Toutes les grâces nous viennent de Jésus et uniquement de lui, le seul Sauveur, mais elles nous viennent par Marie. « Merci, Marie, d’accueillir notre prière mais aussi de nous rappeler sans cesse que c’est votre Fils qui peut tout. Apprenez-nous à demander les grâces qui nous sont toujours nécessaires ».

UN SIGNE À ACCUEILLIR

Puis Catherine entend: «Faites frapper une médaille sur ce modèle, les grâces seront abondantes pour toutes les personnes qui la porteront avec confiance.» Marie, par la médaille, vous voulez laisser à tous et à chacun le souvenir de votre message. Votre médaille est non seulement un signe de tendresse, mais aussi le rappel de la Bonne Nouvelle de l’Évangile.

Marie, donnez-nous d’avoir confiance en Dieu et de Lui demander sans cesse les grâces dont nous avons besoin.

(Pendant la neuvaine*, confession et participation à l’eucharistie sont vivement recommandées)

Ô Vierge Immaculée, Mère de Dieu et notre Mère,  avec la plus vive confiance dans votre puissante intercession tant de fois manifestée au moyen de votre Médaille, nous vous supplions humblement de bien vouloir nous obtenir les grâces que nous vous demandons si cela peut nous aider à grandir dans l’Amour de Dieu et de nos frères. Amen !
(demander une grâce personnelle)

Ô Vierge de la Médaille Miraculeuse qui êtes apparue à sainte Catherine Labouré dans l’attitude de médiatrice du monde entier et de chaque âme en particulier, nous remettons entre vos mains et nous confions à votre Cœur nos supplications.

Daignez les présenter à votre Divin Fils et les exaucer si elles sont conformes à la Volonté Divine et utiles à nos âmes. Et, après avoir élevé vers Dieu vos mains suppliantes, abaissez-les sur nous et enveloppez-nous des rayons de vos grâces, en éclairant nos esprits, en purifiant nos cœurs, afin que, sous votre conduite, nous arrivions un jour à la bienheureuse éternité.   Amen.

 

Pour faire cette neuvaine dans l’esprit de sainte Catherine Labouré : demandons-lui de mettre en nous quelque chose de son amour si filial envers la Très Sainte Vierge, et surtout de nous aider à croire, comme elle, à son Amour si maternel pour nous. Demandons-lui d’aimer comme elle la Vierge Marie, Notre Mère.

Notre Père … Je vous salue Marie …

Prière de la Neuvaine

Marie, conçue sans péché,
Sur vous est venu le Saint Esprit
Et vous nous avez donné votre fils.

Ô Marie, confidente de sainte Catherine,
Apprenez-nous à nous asseoir au pied du Seigneur
Pour écouter sa Parole et la garder dans notre cœur.

Ô Marie, debout au pied de la Croix,
Conduisez-nous au pied de l’autel
Pour devenir une offrande agréable au Père.

Ô Marie, Mère de l’Église,
Vous portez le monde et l’offrez à Dieu
Priez pour nous qui avons recours à vous.

Ô Marie, comblée de grâces,
Répandez vos rayons de lumière
Sur chacun d’entre nous qui vous le demandons.

Ô Marie, icône de l’humilité.
Donnez-nous de porter la sainte Médaille
Signe de notre amour pour les cœurs de Jésus et Marie.

Ô Marie, Servante du Seigneur,
Aidez-nous à vivre de charité comme sainte Catherine
Qui ne cesse d’intercéder en notre faveur. Amen

Ô Marie, conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous.
Sainte Catherine Labouré priez pour nous.


Ô Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous !
Sainte Catherine Labouré, priez pour nous.

On peut achever notre prière par les LITANIES à l’occasion de la neuvaine

LE MOIS DES FIDÈLES DÉFUNTS – 21 novembre

LE MOIS DES FIDÈLES DÉFUNTS – 21 novembre

Selon LE MOIS DE NOVEMBRE CONSACRÉ AU SOUVENIR DES ÂMES DU PURGATOIRE par des considérations sur les peines qu’elles y souffrent, les motifs et les moyens de les soulager et sur l’utilité de la pensée du purgatoire. –  L. Grandmont Liège 1841

Cession de nos bonnes œuvres en faveur des âmes du Purgatoire

Remarquons d’abord qu’il y a trois choses dans les bonnes œuvres : elles sont méri­toires ; c’est-à-dire qu’elles méritent un degré de gloire ; elles sont impétratoires, en ce qu’elles obtiennent quelque grâce de Dieu ; elles sont satisfactoires parce qu’elles satisfont pour nos péchés.

Or, en tant qu’elles sont méritoires, nous n’en pouvons faire part à personne, car le mérite est personnel. C’est, à proprement parler, en tant qu’elles sont satisfactoires que nous pouvons les offrir pour les autres : c’est donc en ce sens que nous pouvons en faire un transport, une cession ; et, en ce cas, toute la satisfaction appartient à ceux en faveur desquels nous nous en pri­vons.

C’est donc de cette manière que nous pouvons offrir toutes nos bonnes œuvres, nos souffrances, etc., pour les âmes du purgatoire.

Or, nous avons vu hier que toutes nos bonnes œuvres peuvent être des moyens de soulager les morts, et qu’ainsi l’on peut en mille circonstances venir à leur secours, sans rien faire d’ex­traordinaire. Nous allons aujourd’hui méditer une excellente résolution que nous proposons aux âmes voulant témoigner à Dieu leur parfait dévouement.

Elle consiste à lui offrir généralement tous les mérites expiatoires ou satisfactoires de la vie, en faveur des défunts. Nous conseillons, en outre, d’en laisser l’application à la sainte Vierge ; car personne ne peut plus saintement en disposer, puisqu’elle le fera toujours pour la plus grande gloire de Dieu, qui doit être la fin de toutes nos œuvres.

Ce sera, de plus, un témoignage du véritable amour que l’on a pour elle, puisqu’on lui remet tout ce qu’on a, et tout ce qu’on peut lui donner, l’honorant ainsi, non seulement par quelques ac­tions particulières, mais par toutes géné­ralement.

Ne craignons pas de nuire à nos intérêts, par ce transport général de nos bonnes œuvres. Quelque accumulées que puissent être les dettes dont nous nous croyons chargés envers la justice divine, quel risque courons-nous, en  cédant à Dieu nos propres intérêts et nos droits les plus légitimes? Les péchés sans doute crient pénitence ; mais la charité crie encore plus haut en faveur des âmes souf­frantes.

Le transport que nous faisons du fruit de nos travaux et de nos œuvres, par le motif d’une charité sublime, n’est-il pas in­comparablement plus estimable en lui-même et plus méritoire devant Dieu, que tout ce que nous pourrions entreprendre par le motif de notre intérêt personnel.

Il est vrai que l’on se prive des satisfactions pour ses propres péchés, mais cet acte héroïque de charité nous est même plus utile que si nous nous réservions nos satisfactions, et a plus de force auprès de Dieu, qui est la charité même, pour nous acquitter de nos dettes.

Donnez, dit J.-C., et il vous sera donné. Mais de quelle mesure se servira-t-on ? Nous serons traités comme nous aurons traité les autres : si nous donnons peu, il nous sera donné peu ; si nous donnons tout, tout nous sera donné.

Le chrétien assez généreux pour consacrer à la gloire de Dieu tout le trésor de mérites qu’il pourra amasser pendant le cours de sa vie, en l’abandonnant aux nécessités pres­santes de ses frères défunts, ne recevra-t-il pas au jour du jugement une mesure surabondante, si pleine qu’elle se répandra par-dessus, comme s’exprime l’Écriture ?

Mais, dit-on, la charité bien ordonnée commence par soi-même. — Rien de plus vrai, lorsqu’il est question du salut. Chacun est tenu d’employer à cette importante et unique affaire tout ce qu’il a reçu de talents et de grâces. A quelque prix que ce soit, il faut qu’il se sauve.

Mais pour soulager et secourir au plus tôt les amis de Dieu, nos frères souffrants, en leur faisant part des biens spirituels dont nous ne pouvons nous-mêmes recueillir les avantages qu’après la mort ; fallût-il nous dé­pouiller en leur faveur de toutes nos acqui­sitions en ce genre ; au fond et en dernière analyse, qu’est-ce qu’une pareille cession opérée, dirigée par des vues si nobles et si pures?

L’acte seul de cette cession n’est-il pas d’une plus grande valeur que tout ce qu’on cède ? N’est-ce pas une action de pure charité, et ainsi plus agréable à Dieu, et plus méritoire que si l’on avait en vue ses propres intérêts? On ne peut donc se dépouiller ainsi, sans être aussitôt revêtu de richesses beaucoup plus précieuses et inaliénables.

C’est pour Dieu, et conséquemment à Dieu, que l’on cède tout, que l’on donne tout. Or, en donnant tout à Dieu, est-il permis de penser qu’on coure aucun risque de perdre ? Donner à Dieu, c’est toujours un prêt saintement valide, dont Dieu lui-même se fait caution en nous disant : Donnez et il vous sera donné. Puisse une si sainte usure tenter la pieuse avarice de tous les fidèles?

Ne craignons donc pas de négliger nos in­térêts spirituels en faisant ce sacrifice, puis­qu’au contraire c’est un moyen d’augmenter beaucoup le mérite de nos bonnes œuvres, et ainsi d’arriver à une plus grande gloire dans le ciel. Même plus on est grand pécheur, plus cet abandon semble devoir être héroïque, parce qu’alors on donne tout son nécessaire.

Si le juste ne peut exercer une plus grande charité, à plus forte raison le pécheur qui, malgré les nombreuses satisfactions qu’exigent ses péchés, vient au secours de son pro­chain, ne s’occupe que de ces âmes qui, ne pouvant plus mériter, sont dans la souffrance et dans l’éloignement de Dieu.

Il ne se réserve rien, il consacre tout à la gloire de ce Maître si bon, si magnifique; un tel sacrifice ne doit-il pas l’emporter sur tous les sacrifices des vertus subordonnées à la cha­rité, telle que la pénitence ?

Car ce sacrifice, cet acte de pure charité, n’a-t-il pas princi­palement Dieu en vue? Heureux donc les chrétiens qui, dans un parfait oubli de tout intérêt propre, ne se regardent plus, n’en­visagent que Dieu seul et son unique gloire ; qui ont, pour tout intérêt, le seul intérêt de Dieu !

Ils ne cherchent, ils ne veulent dans le ciel et sur la terre, dans le temps et dans l’éternité, que Dieu seul ; il leur suffit que la donation de toutes leurs bonnes œuvres le glorifie hautement ; car pour un seul degré de sa gloire il n’y a rien qu’ils ne fussent prêts à faire et à souffrir; et, en contribuant d’une manière si abondante à la délivrance des âmes du purgatoire, ils savent que c’est lui procurer la plus haute gloire qu’on lui puisse rendre.

Comme il y a différents degrés de charité, ceux qui n’en ont pas une si étendue peuvent offrir toutes leurs bonnes œuvres pour une année, pour un mois, pour une semaine, pour un jour, et réitérer quelquefois la même offrande.

Et, si notre désintéressement n’est pas assez complet, pour abandonner à la dis­position de la sainte Vierge le choix des âmes auxquelles il lui plaira d’appliquer nos suffrages, rien n’empêche que l’on ne prie en particulier pour les personnes envers les­quelles l’on est plus obligé ; on peut s’a­dresser à cette Mère de miséricorde, afin qu’elle leur fasse part de nos satisfactions.

Mais là perfection de ce sacrifice fait tout laisser entre les mains de Dieu : les incli­nations de la nature, les intérêts de la chair et du sang, tout cède à la pure gloire de Dieu.

RÉSOLUTION.

Le désir que nous avons de soulager les âmes du purgatoire, doit nous faire adopter avec empressement le moyen que nous venons de méditer, puisqu’il est appuyé sur tous les motifs que nous avons énumérés les 11e, 12e et 13e jours. Mais, comme nous savons que nos œuvres sont si souvent nulles à cause de notre tiédeur, adressons à Dieu de tout notre cœur la prière suivante pour obtenir de sa miséricorde de saints intercesseurs en faveur de nos frères souffrants.

PRIÈRE.

Esprit-Saint, vous avez suscité, à différentes époques, des ordres religieux de tous genres, propres à subvenir à tous les besoins de l’église militante :

Ô Père des lumières ! pé­nétrés de compassion et de zèle pour les morts, nous vous conjurons de susciter éga­lement, en faveur de l’église souffrante, un nouvel ordre, dont le but principal soit de s’occuper jour et nuit du soulagement et de la délivrance des âmes du purgatoire ; dont l’intention invariablement appliquée aux morts dirige les opérations tant du ministère que de la dévotion, comme jeûnes, veilles, oraisons, prédications, etc.

Vous seul, Esprit créateur, pouvez inspirer l’exécution d*un pareil établissement si propre à procurer la plus grande gloire de Dieu, et après lequel notre cœur ne cessera de soupirer. Ainsi soit-il.

Indulgence applicable aux morts. — Indulgence accordée  à tous les Fidèles qui réci­teront, avec dévotion, l’offrande suivante du très précieux sang de Notre-Seigneur J.-C. au Père éternel, pour obtenir sa sainte bénédiction, avec un Pater, un Gloria à la très sainte Trinité, en action de grâce de tous les bienfaits que nous avons reçus de sa miséricorde. (Rescrit du 25 Oct. 1825 ) .

Indulgence pour ceux qui l’auront récitée tous les jours pendant un mois, pourvu que, s’étant confessés et ayant communié, ils prient selon les intentions de l’Église.

OFFRANDE.

Père éternel, nous vous offrons le très précieux sang qui coula pour nous de la plaie de la main droite de Jésus, et, par les mérites et la vertu de ce sang précieux, nous supplions votre divine Majesté de nous accorder sa sainte bénédiction, afin que par elle nous puissions être protégés contre nos ennemis et être délivrés de tous les maux : que la béné­diction du Dieu tout-puissant, du Père, du Fils et du Saint-Esprit descende sur nous et y demeure toujours. Ainsi soit-il. Pater, Ave, Gloria.

Neuvaine de la Présentation de Marie – Jour 9

Neuvaine de la Présentation de Marie – Jour 9

Marie, modèle de l’Église

Luc 1, 46-55 : « Mon âme exalte le Seigneur, exulte mon esprit en Dieu, mon Sauveur ! Il s’est penché sur son humble servante ; désormais, tous les âges me diront bienheureuse. Le Puissant fit pour moi des merveilles ; Saint est son nom ! Son amour s’étend d’âge en âge sur ceux qui le craignent. Déployant la force de son bras, il disperse les superbes. Il renverse les puissants de leurs trônes, il élève les humbles. Il comble de biens les affamés, renvoie les riches les mains vides. Il relève Israël, son serviteur, Il se souvient de son amour, de la promesse faite à nos pères, en faveur d’Abraham et de sa race, à jamais. »

Présentation de Marie au Temple - église - la-Rivière-Saint-Sauveur - 14 - FR
Présentation de Marie au Temple – église – la-Rivière-Saint-Sauveur – 14 – FR

Marie est le modèle de l’Église, qui comme elle, se consacre au service de son Dieu par un don total de tout son être.

Si notre âme est un temple où Dieu veut demeurer, il convient que Marie y soit  » présentée  » : il faut que nous ouvrions notre âme à Marie, afin qu’elle vive dans ce temple, – notre temple personnel.

Puisque l’Église entière, puisque toute l’assemblée des fidèles est le corps du Christ et le Temple de Dieu, considérons la fête d’aujourd’hui comme la Présentation de Marie dans ce Temple, – la sainte Église universelle. Ce Temple qu’est l’Église catholique rend aujourd’hui hommage à ce Temple qu’est Marie.

Si notre âme est temple où Dieu veut demeurer, il est bon que Marie y soit «présentée» et que nous ouvrions à Marie notre âme, notre temple personnel. Et puisque l’Église entière, toute l’assemblée des fidèles, est corps du Christ et Temple de Dieu, prenons la fête d’aujourd’hui comme la Présentation de Marie dans ce Temple, la sainte Église universelle, l’Église catholique qui rend aujourd’hui hommage à Marie.

Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Amen.

Marie, nous ne savons pas si vous avez été physiquement présentée et consacrée dans le Temple. Cependant, votre dévotion à Dieu a certainement été très forte tout au long de votre vie. Votre plus grand «oui» a bien sûr été de dire oui à être la mère du Messie à l’Annonciation.

Mais vous avez continué à dire «oui» aux plans fous de Dieu tout au long de votre vie. Vous avez accouché dans une étable. Vous avez dû vous enfuir en Égypte. Vous avez perdu Jésus dans le temple. Vous avez regardé Jésus accomplir des miracles et être moqué. Vous avez même dû dire «oui» pour le voir mourir sur la croix.

Vous êtes le modèle pour dire «oui» à la volonté folle de Dieu, même si vous ne la comprenez pas pleinement. Pouvez-vous m’aider à faire de même? Je veux dire ce «oui» implacable. Je veux croire et avoir confiance que Dieu sait ce qui est le mieux, même quand je ne peux pas le voir. Je veux pouvoir effectuer le changement comme vous l’avez fait.

Lorsque vous avez été présenté à Dieu dans le Temple en tant que fille, vous n’aviez aucune idée de ce qui vous attendait à travers cet engagement. Moi non plus. Mais je veux quand même faire cette dédicace. S’il vous plaît, aidez-moi, Mary. Aide-moi à faire confiance à Dieu, aide-moi à surmonter mes peurs et mes doutes.

Pourriez-vous aussi prier pour mes intentions? Je porte tellement de choses lourdes sur mon âme, y compris: (Déclarez ici vos intentions) Ô Dieu, je veux mieux Te connaître et t’aimer. Merci pour toutes les bénédictions de ma vie. Aide-moi à continuer à dire oui à ta volonté!

Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Amen.

*

« Marie s’exerçait au Temple à l’exercice de la prêtrise, offrant les victimes à Dieu et offrant en foi Jésus-Christ, sous autant de figures qu’il y avait d’hosties, voyant en attente le sacrifice de celui qui devait sauver le monde et qui, en même temps serait le prêtre, la victime et le temple de son propre et divin sacrifice. Que volontiers elle offrait ces victimes, avec quel amour faisait-elle ces fonctions, n’ayant rien de plus aimable que la vue de Jésus-Christ, le tenant toujours dans ses mains en esprit pour le sacrifier à Dieu ! O Prêtre saint et admirable, prêtre invisible, prêtre d’esprit, prêtre divin vivant en terre et faisant ses saintes fonctions sans être vue des hommes, mais honorée seulement des esprits bienheureux et chérie de Dieu même. » Jean-Jacques Olier

Notre Père, 10 Je vous salue Marie, Gloire au Père