Le Pape salue la Mongolie :
« Merci pour votre généreuse hospitalité »
Peu après midi, l’avion transportant le Pontife et son entourage a décollé de l’aéroport Chinggis Khan d’Oulan-Bator à destination de Rome. Ainsi se termine son pèlerinage en terre mongole qui l’a vu embrasser les différentes réalités de la petite Église de ce pays et de la société. Le télégramme au président Khürel Sükh Ukhnaa : « Je vous assure de mes prières pour la paix, l’unité et la prospérité de la nation« .
Cérémonie d’Adieu
Comme d’habitude, la cérémonie d’adieu a eu lieu à l’aéroport, où le Pape est arrivé après la rencontre avec les travailleurs caritatifs de la Maison de la Miséricorde. À son arrivée, le Pape a été accueilli par le ministre des Affaires étrangères de Mongolie. Après les salutations des délégations respectives et de l’entourage local, une jeune femme lui a remis un bouquet de fleurs. Le Pape a assuré qu’il les offrirait à la Madone.
Saluant ensuite le cardinal Giorgio Marengo, préfet apostolique d’Oulan-Bator, à ses côtés tout au long de la visite, le pape François est parti pour rentrer en Italie. Pendant le vol, la traditionnelle conférence de presse a lieu en compagnie des journalistes.
Le télégramme au président
Immédiatement après le décollage, le Pape a envoyé un télégramme au président de la Mongolie, Khürel Sükh Ukhnaa, dans lequel, en conclusion, il a exprimé « une fois de plus son sentiment de gratitude » envers les autorités et le peuple mongol « pour l’accueil chaleureux » et la généreuse hospitalité qui m’est réservée ces jours-ci ». Il a présenté ensuite ses salutations, assurant ses « prières continues pour la paix, l’unité et la prospérité de la nation » et invoquant « des bénédictions divines cordialement abondantes sur vous tous».
Quatre jours de voyage
Ainsi se termine ce premier voyage apostolique d’un pape en Mongolie. Le pape François a pu rencontrer les autorités du pays dans la capitale Oulan-Bator et la petite communauté chrétienne locale de la cathédrale Saints-Pierre-et-Paul, ainsi que les chefs religieux locaux et les responsables de la « Maison de la Miséricorde« . C’est un pays, coincé entre la Russie et la Chine, qui – selon le Pape – peut jouer un rôle fondamental sur la scène internationale, en particulier pour la paix mondiale.