Deuxième jour de la neuvaine à Marie Reine – Elle t’écrasera la tête
Genèse 3,15: « Le Seigneur Dieu dit à la femme : «Qu’as-tu fais là?»
La femme répondit : «Le serpent m’a trompée, et j’ai mangé.»
Alors, le Seigneur Dieu dit au serpent : «Parce que tu as fait cela, tu seras maudit parmi tous les animaux et toutes les bêtes des champs. Tu ramperas sur le ventre et tu mangeras de la poussière tous les jours de ta vie. Je mettrai une hostilité entre la femme et toi, entre sa descendance et ta descendance : Sa descendance te meurtrira la tête, et toi, tu lui meurtriras le talon.»
La scène se déroule dans le jardin d’Éden. Les personnages sont Dieu, le serpent, Adam et Eve.
Le diable arbore un sourire narquois, triomphant. Il vient de séduire Eve et, à travers elle, Adam. Il peut être fier de lui. Il a réussi à gâcher l’œuvre de création de Dieu et à entraîner les êtres humains – pour qui Dieu a un amour tout particulier — dans la mort et la misère.
Dieu est alors apparu pour réparer les dégâts, lançant la malédiction tragique qui a surgi du péché, mais aussi pour proclamer la première allusion à l’Évangile et au destin du diable.
Dieu dit alors à Satan qu’il mangera de la terre tous les jours de sa vie. Il lui confie également une nouvelle qui le fait rentrer sous terre d’horreur : son ultime défaite viendra d’une femme.
Je vous salue, Vierge au cœur rempli de Dieu, épouse au cœur plein de tendresse,
croyante au cœur plein d’espérance, mère au cœur plein d’amour.
Vous es maintenant vivante au cœur de Dieu et présente à chacun de vos enfants.
Sainte Marie, Mère de Dieu, je vous confie mon cœur avec tout ce qu’il contient de joie et de souffrance, de projets et de craintes.
Habitez mon cœur, pour qu’il soit de plus en plus semblable au vôtre:
rempli d’amour malgré l’indifférence, capable de pardon devant la méchanceté,
plein de confiance au milieu des épreuves, passionné de Dieu au-delà de toute richesse.
Faites naître Jésus en moi, comme il est né en vous et de vous.
Et à l’heure de la mort, soyez présente à mes côtés, pour me conduire dans la paix à la maison de Notre Père. Amen.
O Marie, ma Mère et ma Reine, je me donne entièrement à vous. Je vous consacre ma liberté, ma volonté, mon cœur et tout mon être sans réserve.
Mère très aimante, puisque je vous appartiens, je vous prie de me garder et de me protéger comme votre propre bien. Amen.