Troisième jour de la neuvaine
– Marie, Mère de la promesse
Sainte Marie, vous viviez en contact intime avec les Saintes Écritures d’Israël, qui parlaient de l’espérance – de la promesse faite à Abraham et à sa descendance. (Lc 1,55).
Vous, Ma Reine, qui avez mis tant de diligence à visiter et à sanctifier par votre présence la maison d’Élisabeth, daignez me visiter promptement.
Que vous dirai-je de plus ? Ayez pitié de moi. Je suis tellement misérable et ignorant, que je ne saurais connaître ni demander les grâces qui me sont le plus nécessaires.
Ma Reine et ma douce Mère, demandez-les pour moi, et obtenez de votre Fils les grâces que vous me savez être plus utiles, plus nécessaires.
« L’écoute. Marie se rend chez sa cousine Élisabeth. D’où lui vient ce geste ? D’une parole de l’ange de Dieu : « Et voici qu’Élisabeth, ta parente, vient, elle aussi, de concevoir un fils dans sa vieillesse » (Lc 1,36). Marie sait écouter Dieu. Attention ! Il ne s’agit pas simplement d’ « entendre » superficiellement, mais c’est une « écoute » faite d’attention, d’accueil, de disponibilité envers Dieu. Ce n’est pas la manière distraite que nous avons souvent de nous mettre devant le Seigneur ou les autres : nous entendons ce qu’ils disent, mais nous n’écoutons pas vraiment. » Pape François le 31 mai 2013
Je m’abandonne entièrement dans vos mains, je prie seulement Dieu de m’accorder, par les mérites de mon Sauveur Jésus, les grâces que vous solliciterez pour moi, Sainte Vierge Marie.
Ô Marie, conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous !
Texte présenté par l’Association de la Médaille Miraculeuse