Divine Providence

Divine Providence

Vierge et l'enfant nu - Fra Angelico
Vierge et l’enfant nu – Fra Angelico

Alors que la solitude est une épreuve pour de nombreuses personnes, la liturgie nous rappelle aujourd’hui que Dieu ne nous oublie pas et que nous avons du prix à ses yeux. Puissions-nous acquérir un regard capable de discerner sa présence au cœur de notre vie !

Car rechercher le Royaume de Dieu nous libère de la peur du lendemain et nous ouvre à la confiance et à l’espérance qui ne déçoit point. Je vous invite à être pour ceux qui vous entourent les témoins de l’amour de Dieu, plus tendre que celui d’une mère pour son enfant, et à prier pour que la justice et le dialogue l’emportent sur le profit et la violence.

A la lumière de la Parole de Dieu de ce jour, je vous invite à invoquer la Vierge Marie par le titre de Mère de la Providence divine. Confions-lui notre vie, la marche de l’Église, les événements de l’histoire.

Invoquons en particulier son intercession afin que nous apprenions tous à vivre selon un style plus simple et plus sobre, dans l’activité quotidienne et dans le respect de la création, que Dieu a confiée à notre garde.

Extraits des paroles  de Benoît XVI lors de la prière de l’angélus du dimanche 27 février 2011.

© Copyright du texte original plurilingue : Libreria Editrice Vaticana

Saint Grégoire de Narek, pont entre Orient et Occident

Mémoire liturgique de Saint Grégoire de Narek

Le cardinal Sandri, préfet de la congrégation pour les Églises orientales, présidera ce samedi 27 février une messe à la basilique Saint-Pierre, en la mémoire liturgique
de ce Docteur de l’Église, reconnu comme un pilier de la spiritualité des Églises d’Arménie, suite à la publication du décret du Pape François de fixer au 27 février la mémoire liturgique de saint Grégoire de Narek, Docteur de l’Église.

saint Grégoire de Narek - mosaïque
saint Grégoire de Narek – mosaïque

Une prière œcuménique va se tenir ensuite devant la stature de saint Grégoire de Narek qui avait été inaugurée en 2018 dans les jardins du Vatican. Saint Grégoire de Narek est un «pont entre l’Orient et l’Occident, capable d’unir les nations et les Églises», selon l’ambassadeur d’Arménie près le Saint-Siège.

Qui est saint Grégoire de Narek?

Saint Grégoire de Narek a été proclamé Docteur de l’Église le 12 avril 2015 par le Pape François, lors de la messe organisée à la basilique Saint-Pierre à l’occasion du centenaire du génocide des Arméniens. C’est le 36e Docteur de l’Église et le 2e qui provient d’une Église orientale, après saint Ephrem le Syrien en 1920, proclamé Docteur par Benoît XV.

Grégoire de Narek est une figure très connue et vénérée par les Arméniens, qu’ils fassent partie de l’Église apostolique, largement majoritaire en Arménie comme dans la diaspora, ou de la minorité catholique, présente notamment au Liban, en France, en Turquie et en Italie, et dans quelques paroisses en Arménie.

La date de naissance de saint Grégoire de Narek (entre 945 et 951) et celle de son décès (entre 1003 et 1010) sont incertaines, mais ce moine est considéré comme un fondateur de l’identité arménienne.

Son chef d’œuvre, Le Livre des Lamentations est un ouvrage très connu et massivement lu et étudié, y compris actuellement, plus de mille ans après sa rédaction. Son œuvre poétique et littéraire a fait sortir la langue arménienne du seul cadre liturgique pour en faire progressivement une langue parlée et diffusée dans la vie courante.

De nombreux poètes et écrivains, ainsi que des compositeurs, se sont revendiqués de sa filiation. Son aura est aujourd’hui comparable dans le monde arménien à celle de saint François d’Assise dans l’Église latine.

Texte présenté par l’Association de la Médaille Miraculeuse

Prière Mariale de Grégoire de Narek

Saint Gabriel dell’Addolorata

Saint Gabriel dell’Addolorata

couronnement de la Vierge cathédrale de SpoleteSaint Gabriel de Notre-Dame des Sept-Douleurs (François Possenti) était originaire d’Assise. A 17 ans, il entra chez les religieux passionnistes (Congrégation de la Passion). Cinq ans après, à 24 ans, encore séminariste, à Isola del Gran Sasso dans les Abruzzes, le 27 février 1862, tuberculeux et atteint d’une grande souffrance qu’il supporte joyeusement, il offre sa vie à Dieu. Il vécut sa dernière année dans une union à Dieu très profonde et une charité fraternelle des plus délicates. Il a été proposé par l’Église comme patron des novices et des séminaristes.

Le sanctuaire de saint Gabriel de l’Addolorata, en Italie, lance ce samedi le jubilé du centenaire de la canonisation de ce passioniste, décédé en 1862. À cette occasion, le Pape François adresse un message au sanctuaire et à tous les pèlerins qui le visiteront au cours de cette année.

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