la médaille miraculeuse et le credo IV

La Croix nue

Signe de Résurrection et d’Ascension près de Dieu

Introduction

Richard Tassel (1580-1660) La Résurrection du Christ Beaune Collégiale Notre-Dame huile sur toile | DRNous voici réunis une nouvelle fois pour saisir tout ce que peut nous suggérer la médaille miraculeuse en vue de nous amener à la lecture, à la connaissance, à la compréhension et à la mise en œuvre de notre Credo.

Une face de la médaille présente le contenu objectif de notre foi : la Rédemption réalisée par le Christ Jésus, avec la douce présence d’intercession de Marie sa mère, dans le but d’une communion de tous les êtres avec Dieu.

L’autre face de la médaille représente le contenu subjectif de notre foi : l’acceptation de la Rédemption. Celle-ci est rendue possible à tous les hommes qui prient et qui ont un cœur pur, par la grâce du coeur de Jésus auquel s’unit celui de Marie.Lire la suite →

NOËL POUR TOUS

La naissance de Jésus - peinture sur bois - art catalan, XIIIe siècle | DRSans la Vierge Marie, nous n’aurions pas Noël. Il convient donc tout d’abord de nous tourner vers elle.

« Merci, Marie, d’avoir accepté d’être la Mère du Sauveur, de celui dont le signe du Salut, la croix, fut plantée sur notre globe. Symboliquement vous tenez cette terre entre vos mains, comme vous avez tenu l’enfant que vous avez porté, que vous avez mis au monde. »

Prolongeons ce moment si dense, en contemplant l’enfant entre les bras de Marie. Car, sitôt né, tout enfant est porté dans les bras de sa mère. Il faut insister sur ce moment magnifique de reconnaissance où la jeune mère peut embrasser et emmailloter son enfant avant de le coucher près d’elle.Lire la suite →

La médaille miraculeuse et le credo III

La Croix douloureuse

Signe de souffrance, de mort et de descente aux enfers ; « Stabat Mater dolorosa »

La Croix et le M

Stabat mater dolorosa Médiathèque de Valence | DRNous célébrons la manifestation de la médaille miraculeuse, sa révélation du 27 novembre 1830 à Sœur Catherine Labouré. L’apparition comporte une face cachée, sur laquelle paraît la croix. Et au pied de la Croix douloureuse qui deviendra la Croix glorieuse, après le grand cri de Jésus qui a secoué toute la terre, au pied de la Croix se tient Marie. Elle pleure, mais elle est déjà la Femme forte et toute miséricordieuse qui console Jean, le fils confié ; et elle console trois femmes : sa propre sœur, Marie la femme de Cléophas, et Marie-Madeleine la pécheresse pardonnée.

Ôtez le soleil, que devient l’aurore ou le crépuscule ? Ôtez Dieu, Marie n’est plus. L’aurore en est-elle moins réellement une beauté ravissante ? De même, je demande si, pour tenir tout son être de la pure libéralité de Dieu, Marie en est moins grande, moins digne d’un culte n’ayant au-dessus de lui que l’adoration due au Maître Souverain ? Que respectez-vous, après Dieu, si vous n’honorez pas Marie ? Qui, après lui, invoquerez-vous ? quel pouvoir ? quel cœur aussi dévoué ? Folie de ceux qui ne comprennent pas le bienfait que la Providence nous a donné en Marie. Vérité, justice, bonheur de sa dévotion. Aimons, prions, imitons-la ! Lire la suite →

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