La Croix douloureuse
Signe de souffrance, de mort et de descente aux enfers ; « Stabat Mater dolorosa »
La Croix et le M
Nous célébrons la manifestation de la médaille miraculeuse, sa révélation du 27 novembre 1830 à Sœur Catherine Labouré. L’apparition comporte une face cachée, sur laquelle paraît la croix. Et au pied de la Croix douloureuse qui deviendra la Croix glorieuse, après le grand cri de Jésus qui a secoué toute la terre, au pied de la Croix se tient Marie. Elle pleure, mais elle est déjà la Femme forte et toute miséricordieuse qui console Jean, le fils confié ; et elle console trois femmes : sa propre sœur, Marie la femme de Cléophas, et Marie-Madeleine la pécheresse pardonnée.
Ôtez le soleil, que devient l’aurore ou le crépuscule ? Ôtez Dieu, Marie n’est plus. L’aurore en est-elle moins réellement une beauté ravissante ? De même, je demande si, pour tenir tout son être de la pure libéralité de Dieu, Marie en est moins grande, moins digne d’un culte n’ayant au-dessus de lui que l’adoration due au Maître Souverain ? Que respectez-vous, après Dieu, si vous n’honorez pas Marie ? Qui, après lui, invoquerez-vous ? quel pouvoir ? quel cœur aussi dévoué ? Folie de ceux qui ne comprennent pas le bienfait que la Providence nous a donné en Marie. Vérité, justice, bonheur de sa dévotion. Aimons, prions, imitons-la ! Lire la suite →