Troisième jour de la neuvaine à Marie Reine – A travers Marie, c’est Jésus qui écrase Satan
Apocalypse 21, 1-5 : « Moi, Jean, j’ai vu un ciel nouveau et une terre nouvelle, car le premier ciel et la première terre avaient disparu, et il n’y avait plus de mer.
Et j’ai vu descendre du ciel, d’auprès de Dieu, la cité sainte, la Jérusalem nouvelle, toute prête, comme une fiancée parée pour son époux.
Et j’ai entendu la voix puissante qui venait du Trône divin ; elle disait : ‘Voici la demeure de Dieu avec les hommes ; il demeurera avec eux, et ils seront son peuple, Dieu lui-même sera avec eux. Il essuiera toute larme de leurs yeux, et il n’y aura plus de mort ; et il n’y aura plus de pleurs, de cris, ni de tristesse; car la première création aura disparu.’ Alors celui qui siégeait sur le Trône déclara : ‘Voici que je fais toutes choses nouvelles.’»
Actuellement, les spécialistes argumentent pour savoir si le pronom est masculin ou féminin : «il» ou «elle» t’écrasera la tête ? Autrement dit, le pronom se réfère-t-il à la Vierge Marie ou à Jésus-Christ ?
Voici un secret : cela n’a pas trop d’importance. Car, à travers Marie, c’est Jésus qui écrase Satan. Elle est l’instrument de Jésus quand Celui-ci détruit son ancien ennemi.
Avec cela à l’esprit, il est tout autant légitime de dire : « Il t’écrasera la tête » que de dire : « Elle t’écrasera la tête ». Les deux sont des déclarations tout autant véridiques l’une que l’autre.
Oui le Seigneur fait toutes choses nouvelles. Réjouissons-nous avec Judith de son œuvre de salut.
Cantique de Judith : « Exaltez le Seigneur, invoquez son nom. Je chanterai pour mon Dieu un chant nouveau. Seigneur, tu es glorieux, tu es grand, admirable de force, invincible.
Que ta création, tout entière, te serve! Tu dis, et elle existe. Tu envoies ton souffle : elle est créée. Si les bases des montagnes croulent dans les eaux, si les rochers, devant ta face, fondent comme cire, tu feras grâce à ceux qui te craignent. »
Ô Marie, ma Mère et ma Reine, je me donne entièrement à vous. Je vous consacre ma liberté, ma volonté, mon cœur et tout mon être sans réserve.
Mère très aimante, puisque je vous appartiens, je vous prie de me garder et de me protéger comme votre propre bien. Amen.