Les mystères du Rosaire
Mystères joyeux : Annonciation, Visitation, Nativité, Présentation au Temple, Recouvrement au Temple
Mystères lumineux : Baptême, Noces de Cana, Prédication du Royaume, Transfiguration, Eucharistie
Mystères douloureux : Agonie, Flagellation, Couronnement d’épines, Portement de la Croix, Crucifixion
Mystères glorieux : Résurrection, Ascension, Pentecôte, Assomption, Couronnement de la Vierge.
Prière de neuvaine du 29 septembre au 07 octobre.
O Marie,
Notre-Dame du Saint-Rosaire, nous voulons nous consacrer à toi.
Que la méditation du Rosaire, enrichie des mystères lumineux,
soit à ton école un chemin de contemplation plus profonde
et d’imitation plus fidèle de ton divin Fils.
Donne aux familles qui méditent le chapelet
une union et un amour plus forts qui les aident à surmonter les épreuves,
et aux Paroisses qui rassemblent les fidèles autour de toi,
un nouvel élan missionnaire.
Reine du Rosaire, viens à notre secours, comme tu nous l’as promis,
devant les menaces, les dangers et toutes les guerres capables de nous anéantir.
Obtiens-nous la paix du cœur et partout la paix des armes.
Que rien ne nous éloigne de ton regard et de ta présence maternelle,
ô notre Avocate si puissante sur le Cœur de Dieu !
Amen.
« Énoncer le mystère, et peut-être même pouvoir regarder en même temps une image qui le représente, c’est comme camper un décor sur lequel se concentre l’attention. Les paroles guident l’imagination et l’esprit vers cet épisode déterminé ou ce moment de la vie du Christ.
Dans la spiritualité qui s’est développée dans l’Église, que ce soit la vénération des icônes, les nombreuses dévotions riches d’éléments sensibles ou encore la méthode elle-même proposée par saint Ignace de Loyola dans les Exercices spirituels, toutes ont eu recours à l’élément visuel et à l’imagination (la compositio loci), le considérant d’une grande aide pour favoriser la concentration de l’esprit sur le mystère.
Il s’agit d’ailleurs d’une méthodologie qui correspond à la logique même de l’Incarnation : en Jésus, Dieu a voulu prendre des traits humains. C’est à travers sa réalité corporelle que nous sommes conduits à entrer en contact avec son mystère divin. » Saint Jean Paul II, Rosarium Virginis Mariae, du 16 oct. 2002